1. COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon homme (5/13)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... tu n’entendras parler de nous.
    
    Je suis affalée dans la cage, je veux m’asseoir, mon cul me fait horriblement mal.
    
    Je vois Albert, la casquette toujours vissée sur sa tête, fermer la porte sans un regard pour moi.
    
    Combien de temps suis-je dans cette position comme un œuf, impossible de le dire. J’ai faim, j’ai soif, lorsque je passe le doigt sur mes fesses, des zébrures boursoufflées sont toujours là.
    
    Un endroit semble "entamé", quand je regarde mon doigt, il y a des traces de sang, je pleure, mais silencieusement, s’il revient, je veux qu’il trouve sa petite chienne contente de sa situation.
    
    Un seul point noir dans ma cage, les heures succèdent aux heures et la lumière reste allumée, je la regardais quand j’ai envie de faire un petit besoin naturel.
    
    C’est à ce moment que la porte s’ouvre, Albert est là.
    
    • Tiens voilà à boire et à manger.
    
    Voici aussi le pot de chambre de ma grand-mère, ici, rien ne se perd, il faut que ton nouveau domaine reste propre.
    
    Mets-toi à quatre pattes que je regarde tes fesses.
    
    Je me place en levrette, il passe sa main sur ce qui reste des boursoufflures.
    
    • Voyons si Fred a bien fait son travail.
    
    Je tourne ma tête, le sexe, engin de mon plaisir, est dans sa main toujours aussi majestueux, il bande, il pli les genoux, c’est marrant, je l’ai toujours vu le pantalon au bas des jambes.
    
    Il s’avance vers mon anus, ma chatte est en feu.
    
    À part sa grande et grosse queue, qu’est-ce que cet homme a de particulier ...
    ... pour m’avoir séduite ?
    
    C’est vrai, c'est son regard, je tourne les yeux, quand il me regarde comme il le fait en ce moment, il me fait craquer.
    
    • Attention, je t’encule, mes couilles sont pleines.
    
    Il entre, son gland passe, il pousse un grand coup, ma bouche est trop petite pour qu’elle entre, son sexe est bien au fond de moi.
    
    Mais une grande longueur est dans l’impossibilité d’aller plus loin, sauf à me perforer les intestins.
    
    • Albert fait de moi ce que tu veux, j’aime que tu m’encules.
    
    Je suis devenue folle, je suis en train de me faire enculer dans une cage, même capitonnée, alors qu’à quelques mètres, Pierre a loué le chalet ne servant à rien.
    
    Lui me courant après en montagne et moi couchée en chien de fusil, position que je reprends quand il décharge dans mon cul.
    
    Il me quitte, je suis à la limite entre deux sentiments, moi la femme de 58 ans, bientôt retraité, j’accepte toutes ses soumissions sans me rebeller, suis-je programmée tout au long de ma vie pour finir dans cette cage même si les couleurs sont roses ?
    
    J’ai deux priorités, soit manger soit pisser.
    
    Je commence par la deuxième envie, sinon ma cage va finir par devenir invivable si je fais sur le tapis molletonné.
    
    Souffrir, c’est une chose, pisser dans un pot est un délice quand mon urine sort de ma chatte, Albert a encore à apprendre sur les femmes, il a oublié de me donner du papier hygiénique et moi j’ai pour habitude d’enlever les dernières gouttes en temps normal.
    
    La porte ...