COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Mon homme (5/13)
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens d’accumuler les gaffes.
À l’ordre que viens de me donner Albert, j’ai coupé les tiges et fleurs de pissenlit au lieu de la plante entière.
J’ai fait une deuxième erreur en laissant échapper un petit lapinou qui est venu se réfugier sous la cage.
C’est à quatre pattes, le cul en l’air à la merci de la bite de mon amant qu’il me donne l’ordre d’aller couper une branche de noisetier dans le buisson à deux pas de nous.
• Celle-là, te va-t-elle ?
• Je pense qu’elle fera l’affaire, donne-moi la branche et le couteau.
Il enlève les petites branches, dégageant une baguette d'au moins 2 mètres de long. J’ai coupé un rejet de l’année, bien droit sans savoir à quoi cela va servir.
La baguette prête, il la fait fouetter l’air.
• Parfait, elle est assez souple et le diamètre fait qu’elle va très bien résister. Appuie tes mains sur la cage.
• Que vas-tu me faire ?
• Avec moi, toute erreur se paye cache, fait ressortir ton cul.
J’écarte un peu mes jambes, je me recule légèrement, cela creuse mes reins.
Je suis penchée, je vois mes gros seins en forme de poire 95 C pour mes bonnets de soutient avant qu’Albert m’oblige à me promener nue, ils pendent devant moi.
• Aie.
Albert vient de me fouetter avec la badine, un coup si fort que les larmes me viennent aux yeux.
• Aie.
Une nouvelle fois, la badine s’abat sur mon ...
... fessier.
Pour mon âge elles sont encore très fermes, pas trop grosses, mais rondes.
Je ressens une vive douleur, je dois être marquée, j’aurais mieux fait d’avoir de la cellulite, elle aurait amorti les coups.
• Sais-tu pourquoi je te fouette ?
• Oui Albert, j’ai fait des bêtises et j’ai mérité ma punition.
• Tu vois, ce lapin, cette nuit, il va sortir et sera bouffé par un prédateur.
La vie est dure dans notre montagne et le moindre euro est primordial pour ma survie.
Un nouveau coup, j’ai mal, mais je comprends que je ne dois plus émettre un son. Qu’Albert me fouette autant qu’il le veut, à moi d’apprendre à être sa parfaite soumise.
• C’est bien, tu fermes ta gueule.
Merde, la baguette a cassé, tu as de la chance, je t’en aurais bien mis un ou deux coups de plus.
Entre dans ta cage, on verra si tu as le droit de manger tout à l’heure.
Pour me parler, il me prend par les cheveux, il me tire la tête en arrière, j’ai envie de hurler, je suis sûr qu’il doit lui en rester des mèches dans la main.
Je me redresse, il me tire jusqu’à la cage, ouvre la porte et me balance littéralement à l’intérieur.
• Médite sur ton comportement, ici la vie est dure surtout l’hiver, par ta négligence, je vais être obligé de donner des granulés aux lapins, alors que le champ regorge de nourriture qu’ils adorent.
• J’ai compris Albert, punie-moi si tu veux, mais garde-moi au moins jusqu’au retour de Pierre, après si tu le désires, nous quitterons ta ferme et plus jamais ...