1. Vendu comme esclave à des femmes riches et pervers


    Datte: 10/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... des futurs acheteurs afin de procéder à un essai. Quelques-unes ont fait la moue devant ma maigreur et la taille limitée de mes organes masculins – sans doute leur fallait-il déprécier publiquement la marchandise pour décourager la concurrence et en baisser le prix.
    
    Ma qualité étant inférieure à celle des deux autres, j’ai été le premier mis en vente. Mise à prix : mille euros. Mille cent à gauche, mille deux-cents à droite. Je suis finalement parti pour mille cinq-cents au bout de dix minutes. Un couple de deux femmes m’a remporté. Il paraît que c’était plutôt cher par rapport à ce que je valais. Maman était contente.
    
    Jacqueline m’a passé un collier d’esclave autour du cou, très serré, et muni d’un anneau métallique permettant d’y fixer une chaîne ou une laisse de chien, afin d’éviter toute fuite au aussi de m’humilier au cours du transport dans la rue.
    
    Maman et moi nous sommes faits les adieux. Nous avions deux minutes pour cela. C’était très émouvant. Je lui ai pardonné de m’avoir trahi ; elle m’a dit qu’elle avait absolument besoin de cet argent pour payer ses dettes et qu’elle était désolée de m’abandonner ainsi, d’autant qu’elle connaissait les deux acheteuses pour leur cruauté légendaire. Elle m’a souhaité bon courage pour la suite de mon existence.
    
    Pendant ce temps, nous avons entendu des cris. C’était Corentin qui avait réussi les écarter les barreaux de sa cage afin de s’échapper – il y était parvenu, car il était très maigre. Mais les gardiennes sont ...
    ... parvenues à le ratt****r. Jacqueline a décidé de mettre sa menace à exécution et de le crucifier séance tenante. C’était très impressionnant. Le pauvre garçon a beaucoup hurlé au moment où les clous s’enfonçaient dans ses poignets et ses pieds. On lui a aussi planté le sédile dans l’anus avant de relever à la verticale le bois de son supplice. Les clous étaient stérilisés, comme il est de tradition aux Philippines, et on l’a laissé comme cela une dizaine de minutes pendant lesquelles il a énormément souffert, quand bien même quelques personnes du public l’ont sucé et fait éjaculer sur leur visage. Encore tout endolori d’avoir été transpercé, il a été rendu à sa mère qui lui a promis les pires sévices en répression de son manque de docilité.
    
    Ensuite, Tom et Lucas ont été vendus plus de cinq mille euros chacun, après une longue et acharnée période d’enchères au cours de laquelle quatre couples fortunés les voulaient absolument. Les
    
    deux esclaves souriaient continuellement, impeccables dans leur bandaison à midi, manifestement satisfait de leur succès commercial qui a fait de leur mère une femme riche.
    
    Puis est venu le moment de nous marquer au fer rouge du signe distinctif de nos propriétaires. Nous devions nous allonger sur le dos, sur une table où nos membres étaient immobilisés, puis une professionnelle du marquage d’esclaves s’est approchée. Lucas est passé en premier, puis Tom. Ils n’ont même pas frémi quand le fer leur a brûlé la plante des pieds, dans une fumée ...