1. Vendu comme esclave à des femmes riches et pervers


    Datte: 10/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Résumé
    
    : mes tourments de jeune homme, vendu comme esclave au cours d'une très excitante séance d'enchères publiques.
    
    Le jour même de l’anniversaire de mes dix-huit ans, ma mère m’a emmené dans une salle où d’autre jeunes gens comme moi attendaient, enfermés à double tour dans une petite pièce. Ils avaient tous l’air inquiets alors que j’ignorais totalement quel serait mon sort. L’un d’eux, Corentin, m’a expliqué que sa mère, prénommée Stéphanie, projetait de le vendre aux enchères comme esclave sexuel et qu’il ne reverrait jamais sa grande sœur qu’il aimait ; alors il pleurait à chaudes larmes, et je n’ai rien su lui dire pour le consoler, car l’angoisse commençait à m’étreindre, car je devinais que ma condition serait identique à la sienne. Nous étions quatre garçons, comme les Beatles, venus non pas pour chanter sur une scène, mais pour y être vendus comme de vulgaires marchandises. Les deux autres, Tom et Lucas, étaient plutôt contents de ce qui se leur arrivait, car ils avaient hâte de copuler avec leurs nouvelles maîtresses, et peu leur importait de ne pas pouvoir choisir lesquelles, mais d’être au contraire choisis pour leur charme.
    
    Puis deux gardiennes armées dont venus nous chercher, et leur apparence rude avait de quoi dissuader de tenter de fuir. Nous sommes montés sur une estrade, à un mètre environ au-dessus du sol. C’était dans une sorte d’amphithéâtre. Devant nous, une assemblée composée d’une cinquantaine de femmes était assise sur des bancs ...
    ... attendait avec impatience le début des enchères. On nous a forcés à nous déshabiller complètement. J’ai remarqué que le dos et les cuisses de Corentin étaient striées de profondes manques de coups de fouet. Une gardienne m’a dit qu’il avait été puni pour avoir tenté de s’évader, et que ce n’était qu’un avertissement, car la prochaine fois, si d’aventure il lui prenait l’idée de recommence, cela se solderait par une crucifixion en public, comme sous l’empire Romain.
    
    Les quatre mamans, dont la mienne, se tenaient au premier rang. Il y avait aussi la commissaire-priseuse, qui menait les enchères. Elle n’avait pas l’air de plaisanter avec la discipline, et nous rappelait constamment que nous étions là pour servir les femmes et aussi pour souffrir pour elles. Cela me gênait de me dévêtir en public. Je ne l’avais jamais fait, même au vestiaire du lycée, et encore moins devant des personnes de l’autre sexe que le mien. L’une des gardiennes a dû arracher mon slip de force, sèchement. Il était tout déchiré. Elle a dit que ce n’était pas grave, parce que de toute manière, les esclaves n’ont pas à être vêtus, étant des marchandises et non pas des êtres humains. Brimer notre pudeur constituait une partie du dressage, afin de nous déshabituer à la liberté et de nous enseigner à obéir toujours à des ordres arbitraires qui n’avaient d’autre but que nous faire souffrir. Nos vêtements sont effectivement partis à la poubelle, sous nos yeux.
    
    Tom et Lucas
    
    semblaient toujours satisfait de leur ...
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