Vendu comme esclave à des femmes riches et pervers
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... sort. Sans aucun embarras, ils souriaient et arboraient de magnifiques érections, pour le plus grand plaisir des yeux des spectatrices dont certaines prenaient des photos. Le fait d’être joliment musclés et bien montés était pour quelque chose dans leur comportement. Pendant ce temps, Corentin pleurait. Quant à moi, j’étais partagé entre l’excitation de vivre un moment fort d’érotisme pervers et la crainte de ce qui allait suivre. Nous avions reçu l’interdiction formelle de cacher nos parties intimes avec nos mains. Certaines, parmi l’assistance, riaient de nous voir nus, surtout de Corentin et moi, à cause de gêne que cette nudité nous causait et qui se lisait sur nos visages d’adolescents à peine sortis de l’enfance. Les deux autres étaient fiers de leur virilité et ne s’en cachaient pas.
La commissaire-priseuse, prénommé Joséphine, une femme assez fort d’une quarantaine d’année, est venue pour mesurer les tailles de nos pénis. Corentin et moi avons été priés de nous masturber afin d’obtenir des érections permettant d’effectuer la mesure. Mon compagnon d’infortune n’y est pas parvenu : attaché par les poignets au plafond, il a reçu cinq coups de fouet qui ont claqué très fort, et il s’est retrouvé enfermé dans une petite cage suspendue à un madrier, où il ne pouvait se tenir qu’accroupi. Il a donc été retiré de la vente, remis en stock en vue d’une nouvelle tentative, un autre jour. Tom et Lucas alignaient au tableau d’affichage respectivement vingt-deux et vingt-trois ...
... centimètres du public à l’extrémité du gland. Ils suintaient de rosée de désir. Leurs mamans exultaient : elles pouvaient espérer de très bon prix pour ces garçons dont la virilité était recherchée par les clientes gourmandes de leur corps juvéniles. Les bourses bien dodues, gonflées par plusieurs mois d’abstinence totale obtenue grâce çà des cages péniennes, promettaient de copieuses éjaculations. Ils étaient totalement épilés aux jambes, au torse et au pubis, et parfaitement propres. Jacqueline vantait la marchandise, l’exhibait sous toutes les coutures, et tout était sans défaut, à ses dires.
Avant de procéder aux enchères, il était possible de monter sur l’estrade afin de tripoter la marchandise et d’en apprécier ainsi la qualité. Les futures chalandes se pressaient autour de nous, joyeuses de pouvoir tâter de la bonne viande de garçons, voire hilares pour certaines. Les mains féminines couraient sur la surface de ma peau, palpaient mes testicules et tâtaient la verge, jusqu’à insérer des doigts à l’intérieur de mon anus afin de vérifier que tout était propre et que ma prostate était bien en place. Du liquide prostatique s’écoulait sur le sol et je bandais comme jamais.
Suivant les consignes de Jacqueline, elles prenaient garde à ne pas me laisser éjaculer. Certaines, je le devinais, étaient venues uniquement dans ce but, n’ayant pas les moyens de procéder à une acquisition, à la manière des amateurs de belles voitures qui font croire au vendeur qu’ils font partie ...