1. La violoniste Laura Torillo a disparu ! (2)


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... pourtant avoir remarqué que cela l’agaçait. Mais quand Laura, sans prévenir, vint lui déposer un baiser dans le cou, il se sentit fondre.
    
    — Nous avons passé de bons moments ensemble, n’est-ce pas ? Et grâce à un voleur, en plus.
    
    Ils prirent le petit-déjeuner en tête-à-tête, parlant de tout et de rien. Garcia remarqua qu’elle ne disait pas un mot sur ce qu’elle allait faire plus tard.
    
    — Je peux prendre une douche ?
    
    — Bien sûr, Laura, aucun problème.
    
    Elle se leva, tandis qu’il rangeait les couverts. Au bout de quelques minutes, quelque chose l’intrigua : il n’entendait pas l’eau couler. Il s’avança. La porte de la salle de bain était grande ouverte et Laura se trouvait dans la cabine de douche : elle était gentiment en train de se faire plaisir, ses doigts batifolant sur son sexe. Puis, s’étant aperçue que Garcia la matait, elle se mit à se masturber frénétiquement. Ses gémissements emplirent la pièce. Sa cyprine coulait sur ses cuisses et elle finit par jouir bruyamment. Puis elle prit sa douche tandis qu’il se retirait, tout excité par le spectacle qu’elle lui avait offert.
    
    Après cet intermède coquin, ils s’habillèrent. Puis, un peu avant 9 heures, ils prirent la route de Laredo.
    
    Il n’était pas loin de midi quand ils entrèrent dans les faubourgs de la ville. Le voyage s’était passé sans incident et Laura n’avait pratiquement pas ouvert la bouche.
    
    — Je te conduis chez toi ? A l’adresse que tu m’as donnée ...
    
    Laura fit la moue :
    
    — Comme il est ...
    ... près de midi, je suggère qu’on aille d’abord déjeuner au restaurant. Je vais te guider.
    
    Un quart d’heure plus tard, ils se retrouvaient dans une taverne, non loin du Rio Grande. Elle avait retrouvé une certaine gaieté et le repas se passa fort bien. Comme ils étaient assis côte à côte, Garcia ne pouvait s’empêcher de reluquer les jolies cuisses de Laura, laquelle semblait s’amuser de la situation. Puis ils remontèrent en voiture.
    
    Elle le guida dans le dédale de rues d’un quartier périphérique, puis lui demanda de se garer sur une place. Galamment, il s’offrit à porter son violon jusqu’à son appartement, mais elle refusa poliment, à son grand étonnement. Ils se firent la bise, et Laura s’éloigna, son étui à violon à la main. Elle se dirigeait vers un grand immeuble d’une douzaine d’étages. A aucun moment, elle ne se retourna. Puis, il la vit franchir la porte d’entrée. Et là, il eut une étrange sensation : sa silhouette s’était comme effacée. Elle semblait s’être volatilisée !
    
    Garcia hésita sur la conduite à tenir, puis n’y tenant plus, il se dirigea vers l’immeuble. La porte d’entrée ne fermant pas, il entra et se retrouva dans un banal hall d’immeuble, avec la batterie de boîtes aux lettres accrochées au mur. Il y en avait quarante-huit. Il les passa en revue, une par une : le nom de Laura Torillo ne figurait sur aucune d’elle. Il alla au pied de l’escalier qui menait aux étages. Aucun bruit n’en émanait. Et les deux ascenseurs stationnaient au rez-de-chaussée.
    
    Il ...
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