La violoniste Laura Torillo a disparu ! (2)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: megalosex, Source: Xstory
Son regard le fit chavirer, sans compter que la main de Laura lui massait maintenant les couilles. Lâchant ses seins, il l’enlaça prestement et leurs lèvres s’unirent dans un baiser langoureux. Leurs langues s’entremêlèrent. Garcia lui caressait ses belles fesses rondes avec gourmandise. Laura, l’ayant enlacé à son tour, ils étaient maintenant collés l’un contre l’autre, échangeant des baisers torrides.
Puis il abandonna, à regret, les lèvres pulpeuses de Laura pour embrasser ses seins, puis suçoter ses tétons qui se durcissaient et prenaient du volume. Il y mettait tant d’ardeur, qu’elle ne tarda pas à connaître les prémices du plaisir.
— Hum ! Manu...C’est bon ce que tu me fais, là !
Maintenant, il lui mordillait les tétons, la faisant gémir de plaisir. Et ses mains n’en finissaient plus de lui tripoter les fesses et les cuisses. Entre deux gémissements, elle lui glissa :
— Eh bien, tu as drôlement envie de moi. Hmmm ! Ça t’excite de baiser dehors, on dirait ?
Garcia s’en rendit compte, l’espace d’un éclair, qu’ils étaient toujours sur le balcon.
Elle sentait la queue dure de Garcia contre son ventre tandis qu’il lui aspirait les tétons entre ses lèvres. Puis, il la fit tourner sur elle-même et se colla contre son dos. Laura sentit sa bite dure se plaquer dans la raie de ses fesses :
— Hum ! Tu aimes aussil’autre côté ?
Il lui caressait le ventre et ses doigts effleuraient sa vulve. Tout en l’embrassant dans le cou, il lui chuchota :
— C’est que ...
... tu as de jolies fesses, ma chérie, d’adorables melons joufflus.
Laura remua sa croupe, comme pour accompagner ce compliment qui ne la laissait pas insensible.
— Tsss ! Tsss ! Pas de « ma chérie », Manu ! Je pourrais croire que tu es en train de tomber amoureux de moi.
— C’est que je suis très sentimental, vois-tu...tu me plais beaucoup.
Laura sentait cette grosse colonne de chair qui frémissait dans la raie de ses fesses.
— Sentimental, je veux bien, mais surtout excité n’est-ce pas ?
Garcia introduisit deux doigts dans sa vulve :
— Et comme ça, tu seras excitée aussi...
— Fais-le plutôt avec la langue. J’adore ça.
Il se mit à genoux devant elle, sa vulve frémissante près de ses lèvres. Il mit toute sa passion à la lécher, puis titilla le clitoris, quand celui-ci commença à se « réveiller ». Quand Laura commença à haleter, il se hasarda à suggérer :
— Si on rentrait ? Je n’aime pas trop baiser dans la pénombre.
C’est vrai qu’il faisait presque nuit maintenant. Agenouillé devant elle, il avait l’air de la supplier. Laura trouva la situation amusante.
— Bien sûr, mon minet. Rentrons.
Il s’était relevé et elle l’avait pris par la main. Et c’est ainsi qu’ils entrèrent dans le salon. Puis Garcia ferma les stores et alluma le lustre du salon.
Il la regarda, l’air énamouré :
— Tu es encore plus belle en pleine lumière !
Un sourire coquin apparut sur le visage de Laura ; elle regardait le sexe raide de désir de son amant.
— Ou...plus ...