La violoniste Laura Torillo a disparu ! (2)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... masturber en même temps. Ce sera plus facile pour toi.
Il s’était souvenu de ce conseil. Il vit la main droite de Laura se positionner entre ses cuisses et ses doigts s’activer dans sa vulve.
Alors, il commença à la pistonner. D’abord très lentement, puis en accélérant au fur et à mesure qu’il sentait son anus se lubrifier. Peu à peu, sa bite se faisait une place dans son petit trou si serré. Il devenait de plus en plus excité. Parfois, il la pilonnait, lui arrachant de petits cris. Il avait du mal à se maîtriser. Il sentit la sève monter, inexorablement, et il cracha sa semence dans le préservatif.
Il resta un moment en elle, tandis qu’elle continuait à se masturber. Elle parvint à jouir, arrosant de sa cyprine le bord du canapé.
Il se redressa, tandis que Laura s’asseyait sur le canapé. Elle avait chaud.
— Eh bien, quelle expérience ! Qu’est-ce que j’ai pris ! Je ne sais pas si ça fait jouir, ce truc. Mais comme c’était la première fois et que ta bite est assez grosse, j’étais trop concentrée et je n’ai pas pu apprécier...Mais tu as bien joui, toi ? Tu t’es offert mon cul, c’est ce que tu voulais, mon minet, pas vrai ?
Leurs ébats torrides leur avaient fait oublier la cassette qui venait de s’arrêter. Il était 23 heures. Laura se leva et se dirigea vers la salle de bain :
— Bon, moi, je vais prendre une douche et après dodo...je commence à avoir sommeil !
Peu de temps après, il en fit autant. Puis il sortit le linge de Laura de la machine et le ...
... plaça sur l’étendoir, avant de la rejoindre au lit, son lit. Elle avait repoussé la couette, offrant la vue de son corps nu. Elle l’accueillit avec un sourire.
— Alors demain tu me ramènes chez moi. Il faut bien trois heures pour aller à Laredo, n’est-ce pas ? Je voudrais partir le matin, car j’aurai des choses à faire dans l’après-midi.
Elle se rendit vite compte qu’il l’écoutait distraitement, tout occupé qu’il était à se repaître des courbes harmonieuses de son corps.
— Mon minet ? Tu vas te calmer, hein ? Je voudrais passer une nuit tranquille...
Le sergent était au supplice...lui imposer cela ! Mais son honneur de policier lui commandait la retenue, ne serait-ce que pour ne pas finir par se retrouver l’objet d’une plainte. Un comble pour lui ! Laura avait ce parfum de mystère qui l’enveloppait, et cela le rendait prudent.
La nuit fut calme.
Garcia se leva vers les 7 heures, laissant Laura sommeiller encore. Il enfila son peignoir et se rendit dans la salle de bain : les vêtements de Laura étaient secs. Il passa un coup de fer tiède sur la mini-robe, puis la posa sur la table du séjour avec les deux paires de sous-vêtements. Puis il se rendit à la cuisine, pour préparer le petit-déjeuner.
A un moment, il se retourna et vit Laura dans l’encadrement de la porte : elle était restée nue.
— Hum ! Ça sent bon, mon minet ! Je vais me régaler.
Pourquoi diable s’obstinait-elle à l’appeler « mon minet » alors qu’elle lui refusait « ma chérie » ? Elle semblait ...