1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (10)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... sais pas...
    
    — C’est cool, tu vas voir.
    
    — Mais Eric... Il n’est pas d’accord. Ça le dégoûte, je crois.
    
    — Il dormira... tu lui diras rien...
    
    — Peut-être, je vais y...
    
    Elle fut interrompue par une violente claque sur le cul. Un autre acteur X était monté.
    
    — Encule-la, la cochonne !
    
    Alors elle se remit à me bouffer la chatte pendant qu’au-dessus de mon visage le gars la fourrait dans le cul sans préparation.
    
    Mais ses sodomies quasi quotidiennes avec un gars calibré comme un poney, avaient préparé la rondelle à des défis bien plus terribles et son élasticité, déjà tout éprouvée, permit au braquemart de disparaître rapidement d’autant qu’elle avait fort mouillé du cul.
    
    Le spectacle de ce gros mandrin allant et venant et des couilles dansant si près de moi que j’en louchais était des plus agréables.
    
    Il y eut débat dans l’assistance pour savoir si le gars devait éjaculer dans le cul, se retirer pour me la mettre directement dans le tube digestif ou gicler sa crème dans la coupe.
    
    Le débat dura tant que les gars commencèrent à se succéder dans le cul de la fille. Je finis par y mettre un holà ! Après tout, c’était moi la mariée et on était venu pour me foutre en priorité.
    
    Les types en convinrent, mais firent remarquer que l’opportunité de baiser une femme enceinte et grosse comme cela était rare... surtout en groupe.
    
    Néanmoins, toutes les triques étaient en l’air et demandaient à travailler, sauf celle du vieux curé. Il s’était endormi dans un ...
    ... fauteuil Louis XV.
    
    Les serveurs-pineurs durent remiser leur kiki pour laisser aux invités le soin de se servir du leur.
    
    Mais on avait déjà bu et les sangs s’échauffaient. Les propos étaient plus crus, les "salope", "grosse pute", "traînée", "chiennasse", j’en passe et des meilleures, fusaient et les coups avec. Les claques sur mes fesses ou sur le clito, les siens pincés se faisaient plus fréquents. Ce n’était d’ailleurs pas pour me déplaire. Cependant, je fatiguais. Tous les gars voulaient me sauter et je n’avais que trois trous.
    
    Anne-Sophie s’était mise sur le côté et servait de chauffe-plats, branlant l’un, suçant l’autre, flattant les boules du troisième, se laissant tripoter des mamelles et du con.
    
    Chacun conserva cependant un semblant de discipline et versa son écot de jus dans la coupe commune.
    
    Quand ils furent tous passés, ils réclamèrent qu’on fasse monter les meilleurs espoirs du X, mais je demandais grâce. On pouvait déjeuner quand même !
    
    Les agapes reprirent et durèrent jusqu’au dessert. Le pâtissier s’était surpassé avec un gâteau en forme de zob, un gros zob luisant de sucre qui fit rire. Plusieurs garçons déclarèrent que, pour une fois, ils allaient manger de la bite. On me demanda de faire une chorégraphie autour de ce phallus gigantesque. Je m’y livrai avec bonheur et lascivité.
    
    C’est là qu’il fallut faire participer les pauvres mirebalais qui n’avaient pas encore donné. Mettre de la Chantilly sur leurs glands ou leurs roustons, lécher le ...