J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (10)
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Vladimir, Djidjo et le facteur finirent bien aussi par se vider les couilles. Pour l’occasion, on décida de me recouvrir de mon voile et ils jutèrent presque simultanément sur mon visage. La dentelle intercepta une partie du sperme, mais pas tout. Le liquide suinta à l’intérieur et je pus m’en humecter les lèvres en guise d’apéritif.
Il était temps de passer à table.
Nous passâmes donc dans la salle à manger. Un traiteur avait tout préparé, mais mon mari avait recruté à grands frais auprès d’une maison de production de films X, de jeunes acteurs débutants qui devaient assurer le service. Ils étaient six, un peu plus d’un pour deux convives, blacks entièrement nus sauf, eux aussi, un nœud papillon. C’était la fameuse surprise et je sus que je n’allais pas manger que du foie gras, mais aussi de la bite sauce jus de couilles. Le menu était alléchant.
La table, ronde, était gigantesque, bien plus large que nécessaire. Il n’y avait pas de surtout ni de chemin de table, mais juste une sorte de futon. Un escabeau permettait de monter dessus et mon mari m’y incita. Il désigna l’un des serveurs pour m’accompagner et, aussitôt, le mec entreprit de me baiser. Il était trop beau gosse et trop bien monté pour que je refuse.
Pendant ce temps, les autres convives déjeunaient en commentant les prouesses du mec. Untel lui demanda de me prendre en levrette, tel autre de m’enculer, un troisième de me mettre sur le côté, etc.
Cela faisait concours. On se promit de récompenser le ...
... participant qui ferait montre de la plus grande virilité.
Les mecs étant un peu rodés au porno promettaient d’être endurants. J’allais déguster un long moment.
— Il est doué le garçon ! fit observer quelqu’un.
— Oui, répondit mon mari. Cela a été plus difficile de leur apprendre à faire le service.
Les gars avaient reçu une consigne très stricte. Une coupe en cristal était destinée à recevoir leur sperme. On devine pourquoi.
L’autre femme essayait de déjeuner paisiblement, mais les deux mecs qui l’entouraient la pelotaient outrageusement, sous les regards bienveillants du mari qui, assis à côté de la place que j’avais laissée vide, attendait que je revienne pour, j’espérais, se joignant à mon voisin de gauche en faire autant.
Le gars qui me déglinguait finit par se vider les roustons copieusement dans la coupe.
Il secoua bien son nœud au-dessus du vase et pressa sa bite comme un citron pour bien en exprimer tout le suc.
— Il y en a un peu plus. Je vous le mets quand même ?
La saillie fit rire tous les participants alors que je passai le bout de ma langue sur son méat pour récolter cette perle de burnes.
— Au suivant !dit mon mari.
— Eh ! J’ai un peu faim aussi ! fis-je remarquer. Il faut plus qu’une goutte de sperme pour combler mon estomac.
— Bon alors, Anne-Sophie, en place !
Elle se déplaça et monta difficilement sur la table compte tenu de sa grossesse. Un mec la suivit.
— Une autre queue, une autre queue ! réclama son mari.
Un ...