1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (10)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... nouveau sur la plate-forme après m’être assurée, tout de même, qu’elle pouvait supporter le poids de quatre personnes. Le régisseur-maire, qui y avait œuvré, m’assura qu’elle aurait pu supporter le poids de toute la société si elle avait été assez large pour cela.
    
    Placée comme elle était, naviguant à coups de reins sur la queue d’un type et bouffant goulûment celle d’un autre debout, elle ne pouvait pas me voir. Néanmoins, les applaudissements qui saluèrent mon initiative l’incitèrent à cesser un instant de pomper et à regarder ce qui se passait. Après un rapide coup d’œil, elle remit le zob en bouche. Avait-elle pour autant deviné que c’est à sa chatte que j’en voulais ?
    
    Je m’allongeai entre les pattes du jeune hardeur et léchai ses boules où ruisselait la cyprine, puis donnai un coup de langue sur l’abricot. La fille tressaillit. Les gars les moins bien placés se levèrent pour assister à cette séance spéciale de broute-minou aux couilles.
    
    Ce fut l’hystérie dans le public de mâles. Quelqu’un proposa, je crois que c’était le frère du notaire, que le mec jute dans la chatte et que je reprenne tout ensuite, plutôt que de le laisser se soulager dans la coupe de verre.
    
    Il y eut unanimité sur la proposition. Mais comme le gars était résistant de formation, il n’était pas encore prêt à découiller. Je dus donc sortir son pieu, le sucer, le guider à nouveau vers le trou.
    
    Les spectateurs s’impatientant, il fallut même que je laisse la place au deuxième mec pour qu’il ...
    ... vienne prendre la meuf en double avec son pote.
    
    Comme j’étais désœuvrée, mon mari me dit :
    
    — Ben, vas-y, donne-lui ton minou !
    
    La suggestion était bonne, je me fis donc de la place entre le baiseur du dessus et la future parturiente. Elle me lécha avec le plus grand naturel et avec habileté.
    
    — Dis donc, chérie, on dirait que tu ne plais pas qu’aux mâles ! remarqua mon mari.
    
    — Et je m’en félicite !
    
    Nous restâmes ainsi un long moment. Trop long. La plupart des mecs rebandaient.
    
    Enfin l’un des deux queutards arriva au terme, juste à temps pour déposer dans la coupe sa participation, fort généreuse d’ailleurs. Je dus encore donner quelques coups de langue au dernier qui déposa une bonne dose de foutre dans le vagin de ma partenaire. Nous fîmes le plus vite possible pour nous mettre tête-bêche, moi en dessous, afin qu’aucune goutte ne se perde. Fort heureusement, si le liquide s’échappait déjà, c’était pour s’écouler sur la fente toute rouge où j’appliquai ma langue comme une morte de faim. Entre mes jambes, Anne-Sophie me rendit la pareille. Puis elle glissa sur moi, m’embrassa le nombril, me bouffa les seins et enfin, vint me rouler une pelle sous les applaudissements hystériques des gars en rut.
    
    Je profitais du moment où elle suçait dans mon cou une larme de sperme mélangée à de la salive, pour lui souffler tout bas:
    
    — Si tu veux te taper le chien, rejoins-moi cette nuit.
    
    Elle marqua une pause, puis revint en effleurant mes lèvres et me dit:
    
    — Je ...