1. L'incendie


    Datte: 10/11/2018, Catégories: fhhh, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... plaisir. Je te trouve particulièrement excitante ce soir, voire carrément bandante. Dommage que ton chemisier soit si sage, tu m’as habitué à bien pire…
    
    Un sourire gourmand éclaira le visage de Kris. Elle jeta un coup d’œil vers les hommes qui l’admiraient maintenant ouvertement puis se pencha vers moi, déposa un léger baiser sur ma joue et murmura :
    
    — Mon chemisier est trop sage ? Je me sens pourtant tout à fait capable de mettre le feu, si tu m’y autorises et si tu es d’accord pour jouer… Tu veux bien ?
    — Volontiers, répondis-je, mais attention au feu car, un incendie, généralement on doit l’éteindre !
    — Je me sens capable de beaucoup de choses… ajouta Kris en riant.
    
    Puis elle se leva, se dirigea vers les toilettes, passant lentement devant les trois inconnus avec une légère ondulation des hanches pleine de provocation.
    
    Je savourai une gorgée d’alcool tout en observant les trois hommes en souriant. Ils parlaient à voix basse mais j’étai persuadé qu’ils commentaient la beauté de Kris.
    
    Un instant plus tard, elle ressortit des toilettes qui se trouvaient derrière eux. Elle m’adressa un petit signe, un large sourire aux lèvres avant d’avancer puis de s’arrêter à la hauteur de la table des trois compères.
    
    Je la vis se pencher vers le premier homme qui venait de lui adresser la parole, lui répondre sans que je comprenne ce qu’ils se disaient.
    
    Quelques secondes plus tard elle se redressa et, toujours souriante, me rejoignit. Au lieu de s’asseoir, Kris se ...
    ... pencha au-dessus de notre table, tournant le dos aux inconnus. Je compris avant qu’elle ne parle que l’incendie était allumé !
    
    Sous mes yeux, le chemisier de soie dont deux boutons avaient innocemment cédé ( ?) baillait largement sur sa fabuleuse poitrine, offrant la vision de deux globes de chair ferme et soyeuse d’un érotisme affolant.
    
    — Je vois que tu admires la même chose que ces sympathiques messieurs, murmura-t-elle, toujours penchée. Dommage que tu ne sois pas à leur place car, vue de dos, je crois que ce n’est pas désagréable non plus, d’autant que j’ai oublié un autre vêtement dans mon sac à main.
    — Arrête ! lui dis-je, tu veux me tuer !
    — Non, pas encore… Mais si tu es d’accord, nous sommes invités à leur table. On y va ? ajouta-t-elle.
    — Tu fais vraiment très fort, mais je suis d’accord ! Je serais curieux de te voir aux prises avec ces messieurs et je ne ferai rien pour te défendre, au contraire, lui répondis-je.
    
    Nous nous sommes dirigés vers la table des trois hommes. Ceux-ci se levèrent. Chacun se présenta gentiment. Ils invitèrent Kris à prendre place au centre du canapé. Moi, je m’assis dans un fauteuil face à elle tandis que deux des hommes s’asseyaient de part et d’autre de Kris et que le troisième choisit un fauteuil à côté de moi.
    
    Encadrée ainsi, elle répondit gaiement aux questions des inconnus. Puis nous avons goûté les cocktails que venait de nous apporter le propriétaire.
    
    Kris, dont l’alcool avait rosi les joues, riait aux plaisanteries ...
«1234...»