1. L'incendie


    Datte: 10/11/2018, Catégories: fhhh, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    L’ambiance du pub était calme, feutrée, propice à de délicieux instants de quiétude. Dans ce cadre exotique, c’est avec un plaisir toujours renouvelé que les habitués savouraient de subtils cocktails, confortablement installés dans des canapés de rotin, intimement regroupés autour de petites tables basses. Seul un halo de lumière douce animait ces emplacements, irisant les boissons étranges.
    
    Je poussai la porte, nous fûmes accueillis par le propriétaire, attentif à sa clientèle. Nous avions pour habitude de terminer ainsi nos soirées dans le calme de cet endroit paradisiaque.
    
    M’effaçant devant Kris, je la laissai embrasser nôtre hôte que nous connaissions depuis de longues années, lui serrai la main à mon tour. À cette heure tardive, seuls trois hommes, dans un angle discret, bavardaient tranquillement. Ils semblaient approcher la cinquantaine, élégants, souriants, ils suivirent du regard Kris qui, passant devant eux, s’arrêta à une table d’angle, à quelques pas de la leur.
    
    Admiratifs, ils avaient cessé de parler, savourant la vision des jambes fuselées, de la silhouette délicieusement désirable qui venait mettre un peu de vie et de rêve dans ce petit univers idyllique. Kris prit place face à eux.
    
    Dans son geste pour s’asseoir, la courte jupe de son tailleur sobre découvrit ses jambes au galbe parfait, offrant aux trois hommes le charmant tableau d’une cuisse gainée d’un bandeau d’arabesques sombres. Une mince bande de peau claire, entre le tissu et la dentelle ...
    ... leur prouva, si besoin était, qu’elle portait des bas.
    
    Assis à côté d’elle, je l’écoutai babiller en riant, heureuse, enjouée. Nos cocktails servis, nous poursuivîmes notre discussion. Parfois, le rire cristallin de Kris perlait comme une bulle de champagne.
    
    Nos voisins de table discutaient eux aussi à nouveau mais leurs regards ne quittaient que rarement la silhouette de ma chère épouse. Quand elle ôta la veste de son tailleur, ils se turent brusquement.
    
    Je souris en surprenant le regard des trois noctambules et je me tournai vers Kris. Son chemisier de soie claire et légère laissait deviner sa poitrine ferme, orgueilleuse, libre de tout soutien sous le léger tissu. Maintenant nos voisins la déshabillaient littéralement du regard.
    
    — Chérie, j’ai l’impression que tu as des admirateurs, dis-je à voix basse. D’ailleurs je les comprends facilement car tu es splendide !
    — Merci mon amour, j’avais remarqué, ce n’est pas désagréable du tout de se sentir ainsi admirée, désirée, tu ne penses pas ?
    — Si, si, mais j’ose à peine imaginer ce qu’ils feraient de toi s’ils avaient l’occasion de se partager une femme aussi belle et désirable. Ils te feraient certainement subir les derniers outrages ! Ce qui ne serait peut-être pas pour te déplaire, n’est ce pas ?
    — Hum, rien que d’y penser… D’autant que j’ai toujours eu un faible pour les hommes grisonnants, tu es bien placé pour le savoir, mon cœur !
    — Tout à fait ! C’est pourquoi je te livrerais à leurs jeux avec beaucoup de ...
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