1. L'incendie


    Datte: 10/11/2018, Catégories: fhhh, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe fsodo, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... deux gros défauts, je suis curieuse moi aussi et très… gourmande ! ajouta-t-elle.
    
    Dans le même temps, elle posa les mains sur les virilités qui tendaient le tissu du costume des deux hommes. Ses paroles, son geste déclenchèrent la réaction des deux inconnus. Sous mes yeux et ceux de mon voisin, ravi, une bouche avide se posa sur le sein dénudé.
    
    Le chemisier glissa encore et sa superbe poitrine enfin totalement découverte s’offrit aux caresses enflammées. Son second agresseur se redressa, ouvrit lentement le compas des jambes fuselées et une bouche vorace, experte, se plaqua sur la fine toison, arrachant un petit cri à mon épouse. Maintenant, Kris haletait, gémissait, son corps se tordait sous les caresses, son bassin ondulait.
    
    Les jambes largement ouvertes, passées sur les épaules de son agresseur, elle offrait en toute impudeur sa vulve bouleversée à la langue habile qui la fouillait et à nos regards. Soudain, dans un feulement rauque, les mains crochetées dans les cheveux de l’homme, le corps tendu comme un arc, elle jouit violemment, longuement.
    
    L’inconnu se redressa puis, d’un geste preste, se dégrafa, offrant au regard chaviré de plaisir de mon épouse un pieu de chair énorme, fièrement dressé en avant de son ventre musclé.
    
    Il reprit place à côté d’elle, à demi allongé sur le canapé, tandis que son camarade abandonnait la poitrine gonflée pour caresser longuement les jambes découvertes, le ventre encore frémissant de leur victime ...
    ... consentante.
    
    Légèrement penchée, Kris posa la main sur le membre turgescent. Ses doigts fins jouèrent longuement sur l’olisbos vivant, griffant doucement une veine gorgée de sang, se perdant dans la toison sombre qui couvrait deux bourses lourdes, avides de caresses et de plaisir.
    
    Puis, d’un geste toujours aussi lent, exaspérant, elle découvrit un gland monstrueux, large, épais et luisant. Spectateurs subjugués, nous retenions maintenant notre respiration, les yeux fixés sur la main qui coulissait sur la virilité palpitante.
    
    Nous avons vu le visage de Kris s’incliner, ses lèvres pulpeuses effleurer le monstre de chair avant de s’ourler délicatement autour du pieu pour l’engloutir millimètre par millimètre avec gourmandise.
    
    Le corps féminin à demi dénudé, le fin visage déformé par la caresse étaient d’une beauté, d’un érotisme insoutenable.
    
    Pétrifiés par cette folle vision nous ne pouvions détacher nos regards de mon épouse qui ondulait maintenant au-dessus de sa victime, libérant par instant la chair vibrante pour l’engloutir à nouveau goulûment.
    
    Elle dévorait son partenaire avec fougue, comme si elle pouvait jouir de cette possession buccale. Mais l’homme s’arracha de sa tortionnaire pour la saisir par les hanches et la soulever littéralement au-dessus de son ventre sur lequel elle s’enfourcha avec lenteur, s’empalant profondément sur le membre luisant, étouffant une plainte sourde.
    
    Elle se lança alors dans un ballet effréné de tout son corps. Son ventre, ses reins cambrés ...
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