1. PROFANATION...


    Datte: 09/11/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... une droite. Qui le fit aller s’asseoir sur le bout du lit, la main sur la joue, cherchant à comprendre ce qui lui était arrivé, et surtout pourquoi.
    
    Manu agrippa la femme par les chevilles et se positionnait entre ses cuisses. Sans fioritures, il sortit sa queue. Et se faisant violence, d’un coup de reins, il viola le fourreau anal de la cochonne, qui hurla de stupeur en essayant de se dégager. Il fouillait le rectum à grands coups de reins, alors que Marie-France ruait, se tortillait en griffant le dos de son violeur. À mon grand étonnement, je l’entendais dire :
    
    - Laisse mon cul, conard, prends-moi plutôt par devant.
    
    J’étais sidéré d‘entendre cela de sa bouche. C’était même elle de sa main droite, qui saisissait la queue pour la diriger dans son vagin. Manu donna de furieux coup de reins, et l‘embrocha. Elle râlait, suffoquait. La verge de mon ami de toujours provoqua en elle un violent émoi. À en croire que ça faisait longtemps qu’elle n’en a pas vu une.
    
    - C’est bon !… Oui, c’est bon !
    
    Manu se mit tranquillement à la ramoner violemment en lui pétrissant les seins. Mais hélas pour elle, sa besogne ne dura pas aussi longtemps qu’elle l’avait espérait. Il déchargeait, en l’empoignant les fesses.
    
    - Encore, encore ! Mais encore…Gémissait-elle en agitant le bassin.
    
    Satisfait d’avoir obtenu ce qu’il était venu chercher, il se retirait, laissant la femme sur sa faim. Sa déception était de courte durée. Elle se rabattait alors sur moi. M’embrassant pour la ...
    ... troisième fois. Elle me caressait le dos avec volupté, m’enveloppait de ses membres.
    
    Elle serra ma tige dans sa main, la faisait aller et venir. J’imprimais un mouvement de va-et-vient à mon bassin, ma queue coulissait entre ses doigts souples, moites de sueur. Puis elle m’ajusta à l’entrée du vagin. Elle m’attira à elle. Impatiente d’être de nouveau remplis. Quand mon gland toucha ses muqueuses, je sentis tout son corps vibrer. Elle écarta largement les cuisses en émettant un râle.
    
    Je m’introduisais jusqu’aux couilles.
    
    - Putain, depuis le temps que j’y pense. À ta queue. Bourre moi la bien, siffla-t-elle, en poussant un sanglot. Tu ne peux pas savoir comment ma chatte avait envie de ta queue. Elle haletait sous mes va-et-vient. J’allais à grands coups de reins. Elle lança ses jambes en l’air, en tressaillant. Elle jouissait. Je retirai ma queue brillante de mouille.
    
    - Je suis trop nerveux, je n’ai pas pu jouir.
    
    - Tu veux l’enculer ?
    
    Elle se retrouva le cul en l’air sous les yeux ébahis de mes deux compères. Je lui écartais les fesses à deux mains pour lui dégager l’anus luisant.
    
    - Putain quel cul elle se paye cette salope ! Qu’est-ce que tu m’excites !
    
    - Vas-y, encule-moi…
    
    Une touffe ornait l’anus, qui se déplia d’elle-même tant elle poussa dans son ventre pour faire béer son trou du cul. Elle était demeurée amorphe depuis qu’elle avait joui. Le contact tiède et humide de ma queue la fit sursauter. Quand mon gland disparut dans l’orifice, elle ...
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