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PROFANATION...
Datte: 09/11/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- J’étais avec Manu, assis sur un banc de notre quartier attendant qu’arrive Alexandre qui comme à son habitude était en retard. Pour que notre attente soit moins monotone nous reluquions le cul des mamans qui menaient leur progéniture à l’école. Faisant sur chacun d’eux des commentaires malveillants. À l’exception de quelque uns dont nous imaginions pouvoir draguer leur propriétaire jusqu’à les mener à l‘acte sexuelle. - Mais tu sais cela pourrait ce faire. Lui lançais-je. Il ne s’agit pas là d’un simple fantasme, mais d‘une réalité. - Tu déconnes ! Tu veux me faire marcher là ? - Pas du tout, au contraire c’est tout à fait sérieux ce que je dis. Je pari que dans le nombre de femmes qui sont passées jusqu’à maintenant devant nous, il y en a au moins une qui s’imagine partouzer avec nous lors de sa séance de plaisir solitaire. - Tu plaisantes ? - Pas du tout mon pote. Un pote dont nos complicités remontait à l’école primaire. Nous nous étions trouvés plusieurs années de suite dans la même classe. Et même jusqu’au cours de catéchisme. Il ne se passait pas un jour sans que je le défende dans les cours de récréation, lui, en retour m’aidait à faire mes devoirs. Puis Brigitte nous est apparue, (ma maîtresse du moment). Femme mariée, avec deux enfants. D’ailleurs elle les tenait dans chacune de ses mains. - Elle est canon ta voisine. Je me la ferais bien. - Elle n’est pas pour toi, rêve pas. - Ni pour ...
... toi. Fit-il en riant. Ce qu’il ne savait pas c’est que j’avais rendez-vous avec elle, chez elle après le déjeuner. Sur l’instant elle m’avait littéralement ignoré en passant devant nous. Pas un seul regard pour moi. Puis Alexandre arriva. - Alors tu l’as ? Lui fis-je, alors qu’il prenait place à mes côtés. - Oui ! Mais ça n’a pas été facile. C’est qu’elle… - Ce qui compte c’est que tu l’as. Lui coupant la parole. - On tire au sort ou on fait comme d’habitude. Fit Manu, en sortant une boule de tissu de sa poche. - C’est celle de ta mère ? Fit Alexandre. - Non de ma sœur. - Putain je la veux. Répondit-il. - Prend celle que tu veux, mais donne-moi celle de ta mère. Fis-je. C‘était devenu pour nous comme un jeu. On prenait un plaisir malsain de s‘échangé les culottes de nos mères. - On se casse ! Fit Manu. - Pourquoi ? Nous sommes bien là. Répondis-je en humant la culotte d’où s’échappé des exhalaisons assommantes de cochonne négligé. - Ça ne va pas ! Fit Manu. Pas ici, on pourrait nous voir. Pour toute réponse, je plaquais l’entrejambe à mes narines. Les yeux clos, je donnais un visage au trophée. Celui de la maman d’Alexandre. L’objectif atteint, je couinais de bonheur, pour le plus grand désarroi des deux potes. Qui aurait préféré qu’on aille faire ça ailleurs, à l’abri d’yeux indiscrets. Tout cela me donnait une trique d’enfer. C’est alors que Marie-France venait de sortir de la supérette. Un panier dans une main un sac de pomme de ...