1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.


    Datte: 07/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... jetèrent mon drap et ma trousse de toilette par-dessus la porte. J’étais un peu frustrée, j’aurais tant aimé qu’ils me baisent.
    
    Je retourne à notre bungalow. Brisée par le plaisir, je m’endors tôt, mes rêves sont très chauds. Je retrouve le matin ma chatte humide et béante. J’ai donc commencé la nouvelle journée par une violente masturbation, en pensant à ces jeunes mâles dont j’espérais bien qu’ils allaient m’honorer le soir même comme il se doit. Dans cette attente, la journée m’a paru bien longue.
    
    PARTOUZE
    
    C’est seulement vers minuit qu’on frappa enfin à la porte, à travers la vitre je reconnus un des jeunes.
    
    • Allez viens boire un verre avec nous, celui de l’amitié ;
    
    Je me retrouvais à leur table à boire, alors que la veille, ils m’avaient presque violée.
    
    Ils étaient cinq cette fois. Evidement les trois avaient raconté à leurs copains ce qu’ils avaient fait la veille.
    
    • C’est vrai ce qu’ils racontent? Que tu pisses quand tu jouis?
    
    • Vous êtes bêtes. Je mouille simplement beaucoup quand je jouis.
    
    • Je me ferais bien sucer moi !
    
    • Bon et bien qu’est-ce que tu attends? On ne va pas te forcer quand même, t’es là pour ça, non ?
    
    Ils me prenaient pour une pute, mais c’était bien ainsi que je me comportais. Ces jeunes saisonniers avaient 20 ans tout au plus. J’étais fière de retrouver les sensations qui étaient les miennes, quelques années auparavant, quand Rachid m’offrait chaque semaine aux jeunes de sa cité.
    
    Je me levais et me mis à ...
    ... genoux devant le garçon, il sortit son sexe a moitié dur. Je le pris en main le branla un peu.
    
    On entendit une salve d’applaudissements.
    
    • Allez appliques toi !
    
    Je me mis à lui téter le dard, lui lécher les boules.
    
    • oh la salope, c’est vrai qu’elle suce bien.
    
    J’activais mes aller et venu sur sa bite, la suçant l’aspirant, la branlant dans ma bouche.
    
    Quelqu’un baissa mon pantalon et ma culotte, on me caressa la chatte, elle était trempée.
    
    • je te l’avais dit qu’elle aime la baise !
    
    On m’écarta les fesses, avec ma mouille ils me lubrifièrent le cul et ils m’introduisirent un doigt bien profondément dedans, puis deux. Je me cambrais tellement le cul me brulait.
    
    Ce soir-là je fus baisée de nombreuses fois, sodomisée à deux reprises, je bus une grosse quantité de sperme, j’eus de nombreux orgasmes violents, qui me laissèrent sans jambes.
    
    Au petit matin deux des garçons me portèrent à mon bungalow, tellement j’étais incapable de marcher.
    
    DEVANT PHILIPPE
    
    Dès que Philippe fut de retour, je lui ai expliqué ce qui s’était passé. Je ne voulais pas lui mentir, fidèle à la transparence prévue par notre « Pacte candauliste » et ignorant que lui venait de me tromper sans vergogne avec cette salope d’Ambre.
    
    • Ma jolie cougar, j’ai envie de te voir avec ces jeunes mâles !
    
    • Dis- donc, je ne suis pas une cougar, je n’ai que 37 ans, mais c’est vrai que je pourrais être la mère de ces jeunes. Ca me rappelle ces moments si chauds que je passais à la cité. ...
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