Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
Ce texte sera le 4ème et le dernier sur nos vacances de l’été 2014 dans un camping de la côte atlantique.
Ce séjour si particulier m’avait tellement apporté pour assumer mes besoins d’hypersexuelle, qu’à force d’insistance, j’avais fini par convaincre Philippe de le prolonger une troisième semaine.
Au courant de cette dernière semaine, Philippe avait dû, malgré mes vives protestations, s’absenter deux jours « pour des raisons professionnelles ». C’était en fait pour retrouver Ambre, qui avait obtenu de Renaud qu’il accepte qu’elle fasse venir son amant !
Lorsque j’ai su, bien plus tard, la nature réelle des relations de Philippe et d’Ambre, je fis une scène terrible à Philippe. Mais ceci est une autre histoire, même si elle a eu beaucoup de conséquences pour notre couple, qui en a été fragilisé.
Je me retrouvais donc provisoirement seule, d’autant plus que l’inconnu qui avait été mon amant éphémère (récit 47), était lui aussi parti. Depuis notre arrivée à ce camping, j’avais connu un rythme effréné, intensif, de plaisir et, brutalement, plus rien. J’étais bien décidée à être sage, en attendant le retour de mon mari et complice, car je voulais que mes frasques se déroulent dans le cadre candauliste que nous avions défini, et non me laisser aller à l’adultère. C’était un « sevrage » brutal, mais limité à 48 heures et qui donc ne devait pas durer.
Le lendemain du départ de Philippe, un groupe de jeunes saisonniers, particulièrement bruyant est venu poser son ...
... campement non loin de notre bungalow.
Ne tenant plus, je sollicitais la direction pour qu’elle nous change de place ou bien fasse cesser ce « bordel ». Ma démarche occasionna un effet insoupçonné. Il ne faisait aucun doute que les remontrances avaient été faites, mais j’étais clairement identifiée comme étant la «balance» par le groupe de jeunes.
ADULTERE DANS LES DOUCHES
Un soir que trois d’entre eux chahutaient dans les sanitaires, j’allais prendre ma douche. Lorsque je sortis de la douche dans mon drap de bain, ils s’agitèrent autour de moi. A force de me tripoter, l’un deux m’arracha le string que je tenais à la main. Voulant le récupérer, mon drap glissa et je me retrouvais nue devant mes trois gaillards. Ils s’en donnèrent immédiatement à cœur joie pour me caresser.
Un des garçons m’immobilisa les bras dans le dos et me poussa dans la douche handicapé ; les deux autres nous suivirent. On me posa un doigt sur la bouche en signe de silence.
A deux, ils s’occupèrent de moi, malaxant ma poitrine, me tordant les tétons, les étirant...je me mordais la lèvre pour ne pas crier. On me chuchotait à l’oreille des mots obscènes.
• On a entendu parler de toi. On sait que tu aimes ça salope, tu mouilles, cochonne !
Je reçus deux doigts dans la chatte, sans ménagement, ainsi que deux autres dans la bouche, on me branla énergiquement.
Déjà, je me laissais aller. Mes bonnes résolutions de ne rien faire en l’absence de Philippe étaient déjà oubliées. Après tout, il ...