Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (48) : les jeunes amants.
Datte: 07/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... clitoris et commencent à tourner lentement.
J'ai envie de gémir, je gémis, en me malaxant un sein. Ma poitrine est tellement tendue qu'elle pourrait exploser, mes tétons bandent tellement que ça en ferait presque mal.
• Oh, que c'est bon ! Ça vous plait ?
• Jamais vu une salope comme toi. Vas-y, ma belle, branle ton clito, fourre tes doigts dans ton con !
Mes doigts se resserrent atour de ce clitoris jusqu'à ce qu'il y en ait un qui prenne le pas sur l'autre, pour se poser sur le centre de ma jouissance. J'appuie dessus tout en tournant, le maltraitant, le pinçant. Que c'est bon de sentir ce plaisir monter, je gémis, je ronronne de plaisir !
Toujours accrochée à mon sein et à mon téton, j'alterne les sollicitations de mon clitoris. Quelques doigts trouvent à nouveau le chemin de mon vagin détrempé, empli de désir, mais rapidement, l'appel brulant de mon clitoris les rappelle à l'ordre.
Je branle avec violence ce clitoris gonflé de plaisir, ma respiration est de plus en plus rapide, je sens la jouissance monter en moi, j'aimerai faire durer ce plaisir, mais je ne peux plus m'arrêter, ma main se crispe sur mon sein, ma mâchoire se contracte, mes dents se serrent, je ferme les yeux. Mon visage exprime la violence de ce plaisir inouï.
Mes doigts alternent leurs caresses sur mon clitoris et le long de cette fente ruisselante. Je n'en peux plus, j'attise violemment mon bouton, mon corps se cambre, et la jouissance explose, des râles bestiaux s'échappent de ma ...
... gorge, puis des véritables cris de jouissance, plus rien n'existe autour de moi, si ce n'est cette main sur mon sexe et mes doigts qui malaxent mes mamelons.
Cette jouissance est puissante, furieuse, brulante, et je jouis, je jouis, je jouis….
• Ahhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Plus je jouis, plus je sens cette mouille qui s'échappe de ma fente ardente.
Mes jambes se dérobent, je m’effondre sur le sol, mes yeux voilés par ce plaisir ravageur.
Après cette folle jouissance, s'installe un sentiment de bien-être exceptionnel. Un vide bienfaisant.
Rarement une masturbation ne m'avait emmené si loin. Une main posée sur mon sexe, une autre reposant sur mon sein, je suis grisée de plaisir, comme saoule...
• Ouah, j’avais jamais vu une fille prendre un tel pied rien qu’en se branlant !
• T’es une exceptionnelle salope, Olga. Je t’ai filmé, pas d’objections ?
• Non, du moment que tu promets de ne pas diffuser sur les réseaux sociaux !
• T’inquiètes, on n’est pas des salauds ! Faut dire que c’était un super spectacle ! C’était chaud, c’était beau ! Tu dois avoir de l’expérience, ma belle !
• Oui depuis que, adolescente, j’ai commencé à découvrir mon corps. Depuis, je me masturbe souvent, parfois plusieurs fois par jour. Un moyen pour me calmer quand je n’ai pas de mâle sous la main. Et je sais comment m’envoyer en l’air.
Ils me roulèrent chacun une pelle, remontèrent leurs shorts et sortirent de la douche. Ils me ...