1. Mes retrouvailles avec mon épouse


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, 2couples, couple, extraoffre, cocus, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, échange, attache, entrecoup, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... décommandé plusieurs week-ends de suite. Peut-être se lassait-il de Sylvie qui, elle aussi, même si elle ne me le disait pas, souffrait de cette situation. Peut-être, malgré ses airs sûrs de lui, s’inquiétait-il de voir sa femme trop attachée à mon charme ?
    
    Nos ébats étaient cependant toujours ardents. Patricia aimait que je lui attache les poignets aux barreaux du lit avec ses bas. Je lui liais également les chevilles en lui maintenant les jambes écartées. Elle se trouvait ainsi entièrement livrée à mes désirs. Son corps entravé ondulait, tentait de se soulever tandis qu’elle secouait sa tête et qu’elle gémissait.
    
    Un jour, il y avait sur la table la cravache qu’elle utilisait lorsqu’elle montait son cheval. Je l’ai prise. Je pouvais lire dans son regard de l’angoisse. Avais-je le droit d’aller si loin ? J’ai simplement effleuré ses seins et fouillé sa fente du bout de la tige en cuir, jusqu’à jouissance de sa part.
    
    L’intensité de nos jeux et cette dépendance commençaient à l’alarmer. Elle m’en a fait part. Un soir pourtant, elle a voulu improviser, exigeant même de garder sa culotte. Une lueur sale brillait dans ses yeux. Si j’étais excité, elle ne l’était pas moins que moi. Du bout des doigts, elle enfonçait le fond de son slip entre les lèvres de son sexe. Le geste devait déclencher une onde de plaisir en elle parce qu’elle se cambra et laissa échapper un gémissement, avant de dire :
    
    — Ma culotte est assez mouillée pour toi, ou il t’en faut encore ?
    
    Je ...
    ... répliquai que dans l’état où il était, le tissu n’absorberait rien de plus. Ce n’était pas une serviette-éponge. Elle glissa ses pouces sous l’élastique du slip et, lentement, le tira vers le bas. Je pensais qu’elle prenait son temps pour faire durer le spectacle mais je me demandais si ce n’était pas aussi par précaution, pour ne pas jouir trop vite. En effet, la dentelle était collée à sa vulve. Une fois le slip arrivé au niveau des cuisses, les choses étaient plus simples. Patricia se baissa pour le faire passer sous ses pieds, toujours chaussés de ses escarpins. Ensuite, elle se redressa, et me le lança. Je l’attrapai au vol et enfouis ma figure dedans, déjà enivré par la forte odeur de mouille fraîche qui en émanait.
    
    Tout à mon fantasme, j’oubliai Patricia mais elle s’agrippa à moi pour m’attirer sur la moquette. Je me retrouvai allongé sur le dos. Elle défit mon jeans avec des gestes bien appris avant de s’accroupir sur mon ventre. Le temps de bien viser, et elle s’assit sans ménagement sur ma verge qui s’enfonça dans son vagin comme un couteau dans du beurre tiède. Elle entama un va-et-vient vertical à un rythme effréné. Cette position avait au moins le mérite de laisser tout le travail à ma partenaire. Je saisis l’occasion pour remettre la culotte sur ma figure. La jouissance de Patricia arriva très vite. Je l’accompagnai en reniflant son slip de plus belle. Après, elle m’entraîna sous la douche.
    
    Puis peu à peu nos relations se sont de plus en plus espacées, se ...
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