1. Mes retrouvailles avec mon épouse


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, 2couples, couple, extraoffre, cocus, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, échange, attache, entrecoup, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... main.
    
    — Viens.
    
    J’ai posé un chaste baiser sur le front de Sylvie et je suivis ma maîtresse. Elle posa un foulard rouge sur l’abat-jour de la lampe de chevet et s’est déshabillée devant moi, splendide et indécente. Elle s’approcha et commença par délacer mes chaussures. Elle se tenait accroupie. Je pouvais voir ses longs cheveux clairs flotter sur ses épaules. Elle a ouvert mon pantalon, sorti ma verge et la lécha avec beaucoup de tendresse.
    
    Nous avons fait l’amour. Ensuite, une grande partie de la nuit, nous avons parlé de nous, de nos goûts respectifs, et nous avons baisé à nouveau. Nous étions insatiables. Au petit jour, tout engourdi de sommeil, je m’approchai d’elle qui me tournait le dos. Je bandais à nouveau. Elle souleva sa cuisse et je l’ai pénétrée tout doucement. Nous nous sommes endormis ainsi, soudés l’un à l’autre.
    
    Le lendemain matin, je retrouvai un peu gêné Sylvie qui avait les yeux cernés. Je l’avais oubliée pendant toute la nuit. Après une grande promenade dans les bois, nous avons déjeuné dehors avant de nous retrouver pour une longue sieste.
    
    Le soir, après dîner, nous nous retrouvions chacun avec le conjoint de l’autre. Sylvie était encore troublée au moment de nous séparer mais je la quittai sans remords pour rejoindre Patricia.
    
    Nous étions à présent complices. En plus du plaisir, nous avions bien des points communs, Patricia et moi. Mais au-delà de tout, je ressentais une excitation perverse et vive à voir ma femme dans les bras de ...
    ... Bruno.
    
    C’était le même sentiment qui me poussait, lors de nos séances de masturbation, à questionner sans relâche Sylvie pour qu’elle me raconte dans le détail chacun des gestes de son amant, qu’elle me répétait combien elle jouissait lorsqu’elle avait sa queue en elle. Elle aussi, ça l’excitait de parler de lui en termes crus. Et nous finissions toujours par baiser dans une étreinte violente qui ressemblait plus à une lutte acharnée qu’à de l’amour. Nous en sortions épuisés et déchirés. Mais grâce à eux, nous avions trouvé un moyen de jouir ensemble.
    
    Bien sûr, je n’en avais jamais rien dit à Patricia. La lassitude a fini par me gagner. Patricia, de plus en plus amoureuse de moi, me le faisait comprendre par ces attentions délicieuses qu’ont les femmes qui aiment, un geste tendre, un regard ému, un cadeau. Mais il y avait trop de sentiment dans cette relation. Je pensais trop à elle, toujours inquiet, attentif à ses réactions, impatient de la retrouver, d’où des occasions manquées et des rendez-vous annulés. Je supportais mal d’être dépendant d’elle, d’eux. Bruno était en effet un homme très occupé.
    
    Patricia, par souci d’équité envers Sylvie, refusait de me voir seul, même pour déjeuner. Si j’insistais, elle prévenait mon épouse et nous nous retrouvions à trois.
    
    Il me fallait donc trépigner en attendant le samedi, son coup de téléphone nous prévenant qu’ils passeraient nous chercher. Bruno, pour cause de travaux, me semblait-il, était de plus en plus occupé. Il avait ...
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