1. Mes retrouvailles avec mon épouse


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, 2couples, couple, extraoffre, cocus, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, échange, attache, entrecoup, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    Sylvie travaillait dans un hôpital. Elle avait pour collègue une femme, Patricia, qui me faisait fantasmer. Plus jeune, une belle silhouette. Je ne cessais de penser à ses seins, ses cuisses charnues et ses hanches larges faites pour l’amour. Sylvie, mon épouse, me vantait ses qualités à tout bout de champ. Elle me parlait de ses amants. Je discernais une certaine envie dans ses propos.
    
    — Elle est belle et tous les hommes lui courent après.
    
    J’étais un peu dégoûté. Si vraiment cette belle femme couchait, pourquoi pas avec moi ? Il fallait que je tente ma chance. Enfin, comment réagirait Sylvie si elle s’apercevait que je faisais la cour à sa collègue ? Un après-midi, je me suis invité à prendre un café sur le lieu de travail de mon épouse. La belle Patricia était venue se joindre à nous. J’ai tout de suite cherché à lui plaire, j’essayais de briller, je faisais tout pour la faire rire. En connaisseur, je pouvais lire dans ses yeux que je ne lui étais pas indifférent et Sylvie se rendait bien compte de quelque chose.
    
    — Arrête de la draguer, sinon je vais finir par être jalouse.
    
    L’instinct féminin ? C’est pourtant ma femme qui a proposé d’inviter le couple un soir à dîner à la maison. C’était le moment ou jamais de me montrer audacieux. J’ai tout préparé avec soin. J’ai acheté le champagne, les vins, et j’ai moi-même cuisiné. J’ai dressé la table avec ce que nous avions de plus beau. Un vrai repas de fête.
    
    J’ai tout de suite remarqué que le mari de Patricia, ...
    ... grand, bien physiquement, jetait des regards vicieux sur ma moitié et que ma femme de son côté ne paraissait pas insensible à son élégance décontractée et à son aisance. Trop préoccupé par Patricia, je ne m’étais pas aperçu que Bruno draguait ma femme. Ça m’a tout de même fait un choc ! Mais il me fallait faire la conquête de sa collègue qui répondait à mes attentions appuyées. Le repas s’est déroulé dans la bonne humeur. Les plaisanteries fusaient. Nous éclations de rire pour des bêtises. Le vin nous aidait à ne pas penser à ce qu’il pouvait y avoir d’ambigu et de non-dit dans les intentions de chacun. Sous la table, mon pied, sans que je l’aie fait exprès, s’est retrouvé contre celui de Patricia qui n’a pas retiré le sien. Il me semblait que parfois Bruno posait sa main sur la cuisse de Sylvie. J’ai fini par comprendre que nos nouveaux amis avaient manigancé cette rencontre à quatre.
    
    Après le repas, j’ai éteint la lumière. Il ne restait plus que la lueur des bougies. J’ai mis de la musique d’ambiance pour combler le silence pesant. En fait, je ne savais plus trop ce que je désirais. J’ai été pris d’un sentiment de panique lorsque j’ai vu que Sylvie allait s’allonger sur le canapé et que Bruno la rejoignait. Elle a posé sa tête sur ses genoux et fermé les yeux.
    
    Patricia se trouvait dans un fauteuil à l’autre bout de la pièce. Elle me souriait. Partagé entre mon désir pour elle et ma rancœur de voir Sylvie s’abandonner si facilement aux caresses d’un autre, je me suis assis ...
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