Voyeur récalcitrant
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
forêt,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
69,
pénétratio,
Humour
québec,
occasion,
Auteur: MarkTen, Source: Revebebe
... sur mon corps.
Je crois qu’elle va venir poser son coquillage sur ma bouche, elle arrive à la hauteur des épaules, j’attends qu’elle prenne position. D’un mouvement rapide, elle se place tête-bêche. Aussitôt je débute mon exploration ; de son côté, elle s’active sur ma tige. Je plonge la langue, récolte le nectar qui s’écoule, trouve son bourgeon, le titille. La fellation est sublime, elle fait tout pour me faire gicler, je sais que ce sera dans les prochaines secondes, je l’avise, elle relève le bassin, s’éloignant ainsi de ma bouche. Elle me masturbe à une vitesse folle gardant mon gland enserré par ses lèvres.
Je ressens une chaleur partir de mes couilles, monter le long de la hampe, j’éjacule dans sa bouche, elle pompe sans arrêt. Elle se replace sur mes lèvres, quelques coups de langue sur son clitoris lui donnent un orgasme. Elle continue de sucer ma tige qui a gardé sa raideur, de mon côté je lape sa cyprine, retourne exciter son bourgeon de chair, une seconde fois la volupté l’emporte.
— Ho oui, c’est bon, tu goûtes bon ! lance Marika.
Elle vient s’empaler face à moi, je saisis ses magnifiques seins.
— Doucement, ils sont sensibles, garde-moi ainsi, j’aime jouir.
Les yeux embrumés, elle ondule doucement, maintient son plaisir. Je roule la pointe de ses mamelons entre mes doigts. De cette façon, durant plusieurs minutes, elle obtient quelques autres orgasmes. Fatiguée, elle se couche sur moi, je saisis le rebord de la couverture et nous ...
... enveloppe.
— C’était bon, vraiment bon, souffle Marika.
— Tu sais que tu es très belle quand tu jouis ?
Elle sourit, me donne des bisous sur le cou. Je songe que je n’ai pas joui mais je ne peux rester plus longtemps. Je crains que Jean fasse encore une connerie, il ne va pas me pardonner facilement de lui avoir volé cette fille.
— Écoute Marika, j’ai envie de plus mais nous manquons de temps.
— Non, ce n’est pas terminé, j’en veux plus.
— Mon copain va finir par faire une connerie, je le connais.
— C’était si merveilleux avec toi.
— Tu veux m’amener dans ton lit, là, maintenant ?
— Ho oui !
— Habille-toi, dans trente minutes je te fais encore jouir.
Rapidement habillés, nous retournons presque au pas de course à l’ambulance, Jean s’est allongé sur la civière en attendant. Je lui dis de rester là, fais monter Marika à l’avant et démarre vers le poste. Jean demande ce qui se passe, je réponds qu’il va terminer la nuit avec un autre partenaire. Je saisis le micro et avise le répartiteur que je suis hors service au poste. Une fois stationné, je prends mes effets personnels et entraîne Marika à l’intérieur. En passant devant le bureau du sergent, je l’avise que je quitte pour une urgence, tenant toujours Marika par la main, j’entre au vestiaire, je commence à me changer.
— J’aurais pu attendre dehors, dit Marika.
— J’ai trop peur que tu te sauves.
— Tu vas te faire poser des questions, entraîner une fille au poste, comme ça.
— Ils n’auront pas de réponse de moi, mais ...