1. Voyeur récalcitrant


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, forêt, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, 69, pénétratio, Humour québec, occasion, Auteur: MarkTen, Source: Revebebe

    ... Jean va faire rire de lui car tous savent que c’est lui qui court après tout ce qui porte un jupon.
    
    Lorsque nous sortons du vestiaire, plusieurs policiers et policières nous observent, le sergent m’interpelle.
    
    — Marc, j’ai besoin d’un motif.
    
    Je n’ai pas l’intention de répondre mais Marika s’arrête, regarde chaque personne présente, pointant Jean, elle s’adresse au sergent.
    
    — Le petit con là-bas voulait me sauter, il a aucune envergure. Marc, juste à me toucher, me fait mouiller ma culotte, alors je le prends avec moi, peut-être je vous le rendrai demain, bonsoir.
    
    Tandis que tout le monde reste bouche bée, elle marche lentement vers la sortie, me tenant la main. De plus, elle accentue son déhanchement pour narguer les regards accrochés à son postérieur.
    
    Rendue à l’extérieur, elle éclate dans un grand rire.
    
    — Je n’ai jamais vu autant de mâchoires pendues en même temps, même les filles.
    — Tu te rends compte de la réputation que j’aurai à l’avenir, tu as exagéré un peu.
    — Du tout, je n’ai dit que la vérité. Dès que je t’ai vu, j’ai eu chaud au ventre.
    
    En direction de chez elle, Marika mentionne qu’elle a adoré être nue dehors, quelle veut recommencer. Je réponds que ce ne serait pas prudent de retourner au même endroit. Pensive depuis quelques secondes, elle se met à sourire.
    
    — Marc, on change d’endroit.
    — Où veux-tu aller ?
    — Au chalet de mes parents, il n’y a personne en ce moment et c’est isolé.
    — D’accord, c’est loin ?
    — Rawdon.
    
    Je ...
    ... connais l’endroit, elle aura juste à m’indiquer le chemin sur les derniers kilomètres. J’ai un sourire à l’idée de la voir encore se balader nue dans la nature, moi aussi je devrai être nu. Elle veut que je prenne les routes secondaires ; « pas d’autoroute », elle a dit. Dès que nous sommes sortis de la ville, elle me fait arrêter sur un parking sombre, elle descend, se déshabille complètement, lance ses vêtements sur le siège arrière, puis reprend place à côté de moi.
    
    — As-tu quelque chose que je peux mettre sur le siège ? Je vais le tacher.
    
    Je prends un t-shirt dans mon sac et le lui donne. Tandis qu’elle place le vêtement sous elle, je lui caresse un sein. Elle vient me donner un long baiser, mes mains tourbillonnent sur son corps. Elle saisit mes avant-bras.
    
    — Pas ici, roule, maintenant.
    — Avec une déesse nue à portée de main ?
    — C’est obligatoire d’avoir les deux mains sur le volant ? interroge Marika.
    
    Je démarre, place une main sur sa chatte, un doigt sur son bourgeon, le caresse doucement. Elle appuie sa tête et ferme les yeux. La route est cahoteuse et pleine de fissures, ce seront les frissons dans quelques minutes. Depuis un ou deux kilomètres, elle gémit de temps à autre. À deux mains elle tient ouvertes ses grandes lèvres, exposant ainsi la totalité de son clitoris. Mon doigt est toujours actif, aidé par les mouvements du véhicule.
    
    Ses plaintes sont plus fortes. Souvent, elle humidifie ses lèvres de la langue. Ses traits crispés démontrent qu’elle a un ...
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