Voyeur récalcitrant
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
forêt,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
69,
pénétratio,
Humour
québec,
occasion,
Auteur: MarkTen, Source: Revebebe
... je suis hors de vue de Jean, je m’arrête, enlace Marika et l’embrasse, elle répond immédiatement en insérant sa langue dans ma bouche. Je descends la fermeture de la robe et fais tomber celle-ci au sol. Je cesse le baiser, ramasse le vêtement, reprends la marche, tirant la fille par le bras. Après une quinzaine de pas, j’embrasse à nouveau Marika en lui enlevant son soutien-gorge. Me détachant d’elle, je lui enlève sa culotte, elle me regarde, se laisse faire. Encore une fois, je l’entraîne plus loin. Elle demande :
— Tu fais quoi ? On va loin comme ça ?
— Je suis certain que tu ne t’es jamais baladée nue dans la nature.
Nous arrivons à une clôture en fer forgé, en contrebas, la rue, où passent de temps à autre des véhicules. Je lui dis de savourer le moment d’être là, nue, sans que les passants puissent la voir. Elle saisit les barreaux, regarde autour d’elle, constate qu’elle voit partout et est invisible de tous. Je dépose les vêtements sur l’herbe et étends la couverture. J’enlève mon ceinturon, m’assois et examine Marika.
Son corps est d’une beauté incroyable, bien proportionné, longues jambes, fesses rebondies, seins ronds et fermes qui parfois se cachent derrière ses longs cheveux. Elle me fait face, me regarde, me donne le temps de la contempler, son teint foncé est uniforme sur tout son corps, les mamelons brun clair ont leurs pointes érigées, la toison noire est coupée ras. Elle s’avance vers moi, gracieuse dans sa démarche, enlève ses souliers puis ...
... s’installe à côté de moi.
— Tu es un gars un peu spécial, dit-elle.
— Je ne crois pas.
— Tu promènes une fille à poil dans les bois, tu l’embrasses mais tu ne la touches pas. Je te fais pas envie ?
— Si j’ai bien compris, au départ, c’est toi qui avais envie de moi, à toi de me conquérir.
Surprise, elle me fixe puis elle me donne un baiser fougueux, elle me fouille la bouche avec avidité. Elle me couche sur le dos, attaque mes vêtements, la chemise est ouverte. Ses mains caressent mon torse, sa langue vient titiller mes tétons. Je la touche, palpe son corps, elle enlève le reste des vêtements et, finalement, s’étend sur moi.
— Je voudrais faire ce que je veux. Pour une fois, j’ai un garçon pas pressé.
— Je ne peux rien refuser à une déesse comme toi, fais et demande ce que tu veux.
Elle se lève à quatre pattes, avance puis place un sein sur ma bouche, je l’ouvre, elle recule.
— Ne fais rien, je te demanderai.
Elle repose son sein sur ma bouche, seulement le mamelon touche mes lèvres, doucement elle le promène de gauche à droite, puis elle le frotte partout sur mon visage, elle change de sein, reprend la manœuvre. Ses cheveux, très longs, m’enveloppent comme si un rideau était descendu de chaque côté de ma tête. Je caresse ses cuisses, ses fesses, elle semble apprécier. Elle baisse le bassin, appuie son pubis sur mon ventre, elle frotte sa vulve sur moi, lentement elle monte le long de mon torse. L’air frais me fait ressentir la trace de cyprine qu’elle laisse ...