1. La restauratrice de clystères en étain


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, inconnu, magasin, collection, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral lavement, init, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... essayer ?
    — Heu… moi ?
    — Oui… Si vous avez un petit moment, je peux vous proposer de vous initier.
    
    Et, sans que j’aie le temps de donner une réponse, Pierrette se dirige vers la porte de l’atelier, la ferme à double tour, retourne une affichette… et revient vers moi en me proposant de la suivre à l’étage.
    
    Sans trop savoir où je suis en train de m’engager, je gravis derrière elle un mauvais et étroit escalier en colimaçon qui nous amène à l’étage, dans une sorte de chambre basse et aveugle. Au milieu trône une sorte de table en acier nickelé, identique à une table d’examen gynécologique. Le sol est recouvert d’un linoléum vert et les murs sont crépis en blanc. Dans un coin, une cuvette de toilette, à côté, un lavabo et un bidet, le tout en acier poli.
    
    Je suis surpris par la présence d’une telle installation en ces lieux que j’inspecte d’ailleurs avec circonspection, tandis que Pierrette se dirige vers le lavabo où elle se récure les mains et les ongles. À côté de moi, une armoire aux parois de verre laisse voir de nombreux clystères en étain, une poire en caoutchouc et divers accessoires de gynécologie comme des spéculums, une lampe frontale d’ORL, des gants en plastique… et quelques flacons de produits transparents que je n’arrive pas à identifier.
    
    — Alors, vous voulez essayer ? m’interroge Pierrette en finissant de s’étriller les ongles.
    — Si cela ne fait pas mal, pourquoi pas ? lui réponds-je sans beaucoup d’enthousiasme.
    — Alors, vous pouvez vous ...
    ... déshabiller et quitter votre pantalon.
    
    Je dois bien vous avouer ma gêne et mon malaise.
    
    Il me semble vivre cette scène dans un univers ouaté, une sorte de rêve, à la limite du cauchemar. Lentement, je m’exécute. Cul nu, les pans de chemise venant cacher ma virilité particulièrement rétrécie devant l’inconnu, j’attends.
    
    Enfin Pierrette termine ses ablutions et, tout en se séchant les mains avec une serviette jetable, elle me fait face, se dirige vers la vitrine en verre, l’ouvre et choisit avec soin un lourd clystère muni d’une poignée de bois. Elle s’empare d’une fiole et repart vers le lavabo en me tournant le dos.
    
    Je suis ses gestes sans en perdre une miette. Elle remplit d’eau le corps du clystère et y ajoute un peu de la solution du flacon, tout en continuant à me parler.
    
    — L’eau est tiède et j’y ajoute un peu de glycérine médicale. Après je vais enduire l’embout avec un peu de vaseline.
    
    Comme je ne dis mot, elle continue, question de me rassurer.
    
    — Vous verrez. C’est une super sensation. C’est à la fois excitant et, quand il le faut, cela permet de se soulager. Après la sensation est formidable.
    
    Elle a terminé ses préparatifs et s’approche de moi.
    
    — Qu’est-ce que je dois faire ? lui demandé-je.
    — Pour la première fois, parce que c’est bien la première fois ? Hein !
    — Heu… Oui…
    — Alors, vous allez juste vous appuyer sur la table qui est devant vous, tendre les jambes un peu écartées, et respirer un grand coup quand vous sentirez le bec s’introduire ...
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