1. Salope au balcon


    Datte: 05/11/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... J'eus une sorte de pitié. Ce type n'avait pas commis de crime. Il voulait sa part et participer un peu de la fête du plaisir dont il était depuis longtemps frustré. A cet instant le smartphone sonna. Le mari m'annonçait rentrer tard.
    
    Le coup de fil m'irrita. Je m'écriais en mon for intérieur : « Ce mec se fout de ma gueule. » Je le représentais à quelques kilomètres de là entre les cuisses d'une garce. Ce con s’envoie en l'air et moi je fais la sotte épouse, resucée vague d'une Pénélope antique. En l’occurrence la Pénélope avait envie de devenir salope. J'avais en face de moi un pauvre hère et l'opportunité d'une bonne action. J'eus idée de me venger. L’occasion fait le larron. Eric avait bien droit à s'amuser aussi. Je fis glisser alors tout mon peignoir jusqu'au sol. Me tournant vers Eric je dis : « Je te plais ? » »
    
    La suite fut un peu vague. J'en étais à mon deuxième Whiskys. La tête me tournait. Je me souviens que peu après j'étais entre les cuisses de mon petit vieux. Je lui déballais le sexe. Celui était long et fin. N’avais-je pas pompé il y a trois heures mon patron. Mes pipes étaient louées souvent. J'attendais le même assentiment de mon ami Eric. Celui-ci était autant penaud bien qu'un peu éberlué à présent. Une jolie blonde qu'il avait durant la semaine lorgné avec des jumelles le suçait à présent. Il se devait pincer pour s’assurer que ce ne fut un rêve. Ma bouche se déchaînait.
    
    J'escomptais que nous aurions deux heures devant nous. Je tins à écourter ...
    ... la pipe. Je devais ménager la santé et vigueur de ce nouvel amant. Il était d'âge respectable, chômeur et en cela plus déprimé. Je devais à mesure solliciter toutes ses forces. La logique eut requis que nous forniquâmes sur le divan. Cependant toujours investie d’une certaine rage je goûtais en forme de vengeance qu'Eric eût les honneurs du lit. Là dans peu d’heures mon goret de mari se viendrait effondrer. Quelle volupté de savoir qu'une heure avant un homme m'y avait besogné.
    
    J'ai rarement cédé à telle fantaisie. Je n'étais pas mécontent de concéder pourtant ce privilège à mon admirateur Eric. Ainsi le tirant par le bras l’entraînais-je dans la chambre. Pudique il me demanda que nous fîmes cela dans la pénombre. Je perçus qu'il se déshabillait lentement. J'étais déjà couchée nue sur le ventre offrant mes dos et fesses. Parodiant un peu Bardot dans le Mépris, je lui demandais : « Tu aimes mes fesses chéri ? » D'un ton plus assuré cette fois, il me répondis. « Oui elles sont magnifiques. Je les ai admiré maintes fois avec mes jumelles. »
    
    D'une voix sourde, tête enfouie dans le drap, je poursuivis. « N'aimerais-tu les toucher, les caresser, et en disposer ? « Il s'assit enfin auprès de moi. Sa main d'abord malhabile me parcourait le cul. Je le savais magnifique et bronzé. J'éprouvais l'amour-propre du chef cuisinier qui présente un plat aux papilles de ses convives. N’avais-je pas concocté cela tout l'été et pour que des mâles comme Eric puissent en jouir ? Il valait bien ...