1. Salope au balcon


    Datte: 05/11/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    L'été indien en nos régions n'est pas un vain mot. Septembre avait été pourri. On doit cependant accueillir avec philosophie ces pluies qui abreuvent nos sols. N'empêche comme beaucoup j'avais l'esprit chagrin. Je guettais le moindre rayon de soleil qui put dorer encore ma peau. Non pas que je fus forcenée du bronzage mais je sais qu'un corps doré contente et attire les hommages. Pour le coup je deviens plus désirable et appétissante. J'en frétille d'aise. Aussi fut-ce une semaine merveilleuse. Presqu'un retour d'été. Vingt-huit degrés au thermomètre. J'exultais.
    
    Je me dépêchais de rentrer du bureau pour me ruer sur la modeste terrasse dont bénéficiait mon appartement. Mon époux ne rentrait que fort tard. Il prenait souvent la liberté d'aller prendre un verre avec des copains. Je soupçonnais même qu'il fricotât avec quelque femme. Je lui rendais de toute façon la monnaie de sa pièce. Outre que de me faire sauter par le patron, je disposais de quelques numéros d'amants qui pouvaient à tout besoin me secourir. En attendant et tous ces soirs je courrais à mon seul amant : le Soleil.
    
    Je poussais l'audace jusqu'à me déshabiller totalement. Je n'apprécie rien tant que d'être nue comme un ver. Je suis adepte de naturisme. Besoin que j'assouvis aux périodes des vacances d'été. Il m'importe peu que dans les immeubles vis-à-vis quelque voyeur se munisse de jumelles pour découvrir et se délecter de mes formes. Cela me flatte plutôt et m'excite. Je bronze ainsi pour les vicieux. ...
    ... Une salope gagne à être vue et convoitée. Ces derniers temps je poussais la témérité jusqu'à me caresser et m'introduire un gode devant ces admirateurs invisibles.
    
    Le ballet durait une heure jusqu'à que le soleil décline et se cache derrière un lourd immeuble barrant tout l'horizon. D'un coup la température décroissait. Prise d'un frisson alors et emplie de tristesse je pénétrais illico dans le salon. La fête était finie. Je me grignotais une salade attendant sagement le mari devant une émission télé. Il m'importait peu qu'il me touchât la nuit ou eu des louanges sur mon corps mince et bronzé. Celui-ci ferait l'affaire du patron ou d'un copain. Le sexe étant toujours le prolongement du farniente. J'ai toujours aimé être objet de plaisir.
    
    Le bulletin météo annonçait lugubrement la fin de cette séquence paradisiaque. Pluie, vent et chute des températures nous attendaient. On rentrerait dans le dur de l'automne. J'avais cependant bien profité. Ce soir-là je me destinais à faire un adieu provisoire à mon beau dieu Soleil. Je me tins un temps à la rambarde du balcon scrutant tout l'horizon. Mes jolis seins nus se voulaient saluer tous mes admirateurs alentour. J'aurais eu envie de clamer : « Oyez braves gens. Mater une dernière fois la salope, son cul et ses nichons. Je ne rouvre que dans dix mois. »
    
    La tristesse se mêlait à un tel enjouement. J'eus idée de rejoindre un ami à l'autre bout de la ville. Son coup de queue me rassérénait sûrement. Le hasard voulut que me fut ...
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