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Salope au balcon
Datte: 05/11/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... enlevée cette opportunité. Quelqu'un à ce moment sonna. Qui se pouvait être à pareille heure ? Je songeais à quelque voisin ou voisine de palier. Me couvrant hâtivement d'un peignoir je fus hâtivement à mon œil de bœuf. Il faisait sombre. Je vis un petit homme planté là patiemment devant ma porte. Qui se pouvait être ? La curiosité surmontât toute considération de prudence. J'ouvrais. C'était un petit vieux tout anodin. Il balbutiait raclant le fond de sa gorge. Penaud il regardait son pied plutôt. J'eus du mal à comprendre ce qu'il voulait me raconter. Il s’empêtrait dans des excuses. « Pardon je ne suis pas de vos connaissances ou du moins vous m'êtes plus familière que moi pour vous. J'habite en face. Du moins je suis locataire dans vos immeubles en vis-à-vis. Une idée m'est passée par la tête. Aussi suis-je venu sonner chez vous. Je conçois que c'était fou et que je vous dérange. » Il me parut soudain que je ne devais poursuivre cette conversation sur le seuil et que je devais l'intimer à entrer. Au point où j'en étais je l'invitais à s'asseoir au salon et lui offris à boire. Il était autant dépité. Sa gêne parvint à me dénouer voire même me faire sourire. A présent démêlant le vrai du faux j'entrevis que j'avais devant moi un de ces singuliers et invisibles admirateurs sur lesquels je fantasmais. Ce godelureau depuis longtemps devait me mater. Là agissant sur un coup de tête il avait voulu se manifester. Le summum fut atteint lorsqu'il déclara qu'il avait lui ...
... aussi écouté la météo et qu'il avait conçu l'idée horrible que je pourrais renoncer à mon bronzage sur le balcon. Je partis dans un fort éclat de rire. Tout cela était sordide et grotesque. Ma réaction intempestive provoqua que les pans du peignoir à ce moment-là s’écartèrent livrant impunément tous mes appâts. Il les avait pu admirer que de loin encore que muni de puissantes jumelles il avait pu aussi en goûter tout le détail. J'avais envie d’être effrontée et de me moquer du gnome. Je me gardais de refermer ledit peignoir. Il avait relevé depuis la tête et reluqué assurément ma chatte lissée. Je laissais faire. N'étions nous pas en sorte quelques bons amis ? Je tins cependant à reprendre l'initiative. D'un ton cruel je lui balançais : »Pour parler franc vous êtes un cochon. Vous matez vos voisines. Vous avez eu le toupet de venir m'avouer ça. » Mon verbe était abrupt. Il parut vraisemblable qu'après être entré sur terre, il put se redresser, partir sans demander son reste. Au lieu de ça il baissa la tête laissant le silence envahir la pièce. Relevant la tête je lui vis un regard triste. On eût dit que la fin de l'été autant que moi le désolait. Devais-je être sévère avec cet admirateur zélé de la beauté ? Il s'appelait Eric, chômeur et à trois ans de la retraite. Ce type avait eu une vie minable. Sa femme s'était barrée depuis longtemps. Il voyait peu ses enfants. Il m'avoua qu'il se branlait sur quelques vidéos et effectivement reluquaient quelques femmes comme moi. ...