1. Cougouar au parc


    Datte: 04/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... court de mots, je laissais soudain le silence nous reprendre. Je regardais vers le ciel et tirais longuement sur une cigarette. Je me sentis vieille et inutile d'un coup. J'eus peur que des larmes me vinrent aux yeux. C'est à ce moment qu'il me prit la main. Il avait perçu de mon désarroi. J’abandonnais ma main dans celle de ce nouvel ami. Son ton plus doux me versait les mots que je voulais entendre. « Je mets sur le compte de ce hasard que vous soyez venu un jour dans ce parc. On ne doit pas gâcher ce signe. Nous en savons tous deux la valeur. » Il apposa alors un baiser humide sur ma nuque et se leva. Il me dit : à demain ! »
    
    Dès le lendemain je fus une autre femme. Plus libre et enjouée. Je le voulais séduire. Sans ambages il m'avoua être infidèle et s'ennuyer avec son amie. Elle était amoureuse. Il ne voulait la blesser. Il me dit que son attirance allait à des femmes mûres comme moi. Je protestais que tant d'artifices ne me protégeaient pas de l'injure du temps. Bref qu'il était ridicule qu'il me désirât et voulut une histoire avec moi. En même temps tout protestait et contredisait ce propos. J'étais prête à céder. Nous n’attendions qu'une occasion. Chaque matin je m'attifai pour lui. Même qu’une fois adoptais-je une culotte transparente et qu'il vit.
    
    Enfin vint le jour fatidique. C'était un vendredi. Mon stage avait fini le midi. Je le lui avais fait entendre la veille. Je ne sus s'il avait menti lorsqu'il m'annonça penaud le retour de son ami le pour le soir. ...
    ... Ma tristesse était flagrante. Il proposa sur le champ que nous passions l'après-midi ensemble. Je protestais en vain. Il passa devant moi un coup de fil. Son boss acceptait ce congé si impromptu. Nous avions quartier libre. Il me prit la main m'entraînant au fond du parc au prétexte que là-bas il y avait des glaces. Derrière un arbre il m'enserra et m'embrassa. Tout procédait d'une pente naturelle. Sa bouche était autant délicieuse que je rêvais.
    
    Nous dégustâmes nos glaces. Sa main courait sur ma cuisse jouant avec le liseré du bas. Il me dit qu'il avait vu le jeu avec le vieux. Intriguée je demandais : »Qu'en pensais-tu alors ? » Il me répondit : »J'ai pensé d'emblée que tu étais la femme de mes rêves. » Les statues du parc n'ont rien de comparable à toi. Tu es autrement animée et sensuelle ». Nous nous étreignîmes de nouveau. Nous n'en pouvions rester là. Il me dit que je devais le suivre chez lui. Je rétorquais que c'était déraisonnable et immorale à la fois. Son amie rentrait le soir. Tel un fou, il m'entraîna peu loin jusqu'à un immeuble dont nous gravîmes l'escalier.
    
    Nous n'avions de cesse que la porte s'ouvrit afin de nous jeter l'un sur l'autre. C'était un grand et magnifique appartement. J'eus idée qu'il avait emmené ici d'autres femmes comme moi. Je n'eus pas trop le temps de le déplorer. Bientôt accroupie avais-je entamé une folle fellation. Son sexe était lourd et puissant tel que je le rêvais. Il put s'aviser que je faisais cela avec un certain flegme, une ...