1. Cougouar au parc


    Datte: 04/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... mauvaise humeur surjouée. J'abîmais en quelque sorte cet instant. Nous parlâmes en vain de Tchekhov, Tolstoï et Pouchkine. Ces grands auteurs russes n'étant qu'alibi. Mon petit vieux dépité avait depuis disparu. Je tirai furieusement sur une cigarette. Je balançais nerveusement au bout d'un pied un escarpin ce que le jeune homme remarqua. Il s'en alarma. Il dit : « J'ai l'impression que ma compagnie vous déplaît. »
    
    Je sursautais de nouveau. Il n'en était rien. Je bafouillais inventant un conte qu'on m’avait ce matin contrarié. Je protestais que j'étais contente au contraire de pouvoir échanger littérature avec un esprit comme le sien. Enchaînant je lui demandais son métier. Il déballa en forme de CV son nom, prénom, métier et même statut matrimonial . Je pris ce dernier point comme une impertinence. Je ne lui demandais pas de m'annoncer qu'il avait une amie et qu'il vivait avec elle. Je sus que lui et elle étaient de bonne famille. Sachant ses diplômes, je m’étonnais de son modeste métier. Bref je vis que j’avais affaire à un oisif et original.
    
    Il s'appelait Frédéric. Nous poursuivîmes et disputèrent sur la teneur de ce chef-d’œuvre qu'est l****a. A son enthousiasme j'opposais mes réticences sur ce thème scabreux de la pédophilie. Il me servit le couplet sur la transgression dans l'art. Je me trouvais sottement dans le camp des bonnes mœurs ce qui ne manquait pas de piquant sachant mes façons avec les hommes et notamment les plus jeunes. Peut-être perçut-il un peu de ...
    ... ma contradiction et de l'insincérité de ma position. Aussi proclama-t-il : »J'en dois déduire que vous défendez mordicus la morale ? » Le coquin me tendait une perche. La ficelle était grosse.
    
    Lâchement préférais-je rompre là ou du moins pour aujourd'hui. Je prétextais l'heure de reprise de mon stage. Je lui dis sybillinement que je répondrais demain à sa question s'il avait l'honneur de traîner dans le coin à même heure. Son regard était intense. Il ne laissait point de doute quant à son désir pour moi. J'en rougis et sottement en vins-je à tirer sur ma courte jupe. Je haïssais ces pudeurs de vierge. Il m'imposait le contre-emploi. Il me menait pas le bout du nez. Je perçus longtemps qu'il me regardait m’éloignant parmi les arbres. Pour une fois il m'importunait qu'on détaillât à loisir mon petit cul serti dans sa jupe étroite.
    
    Le lendemain je demeurais toujours sur la défensive. Il choisit cette fois d'attaquer. Il m'avoua de go qu'il me trouvait désirable et que Nabokov n'était qu'un prétexte pour pouvoir m'approcher et mieux me connaître. Je lui sus gré de mettre les pieds dans le plat. Je lui annonçais autant que lui que j'étais acoquiné avec quelqu'un en ma vie. J'osais même ajouter que j'étais assez fidèle. Il sourit de ma mince restriction. Je crus ratt****r en lui rappelant qu'il était jeune et eût pu être mon fils. Son sourire demeura. Tout ce j'objectais à notre chance de relation ne faisait qu’augmenter son désir pour moi. Je me débattais et m'enfonçais.
    
    A ...