1. Cougouar au parc


    Datte: 04/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... mon flanc un mari ronflait. Je m'en étais caressée. J'en étais encore à cette irrépressible envie regardant de toutes parts s'il venait. Peut-être était-il pris ou avait-il été choqué de ma répartie d'hier?
    
    Au bout de vingt minutes après que mon cœur m'eût arraché un sourire, je sortis mon livre puis une pomme blonde que je croquais. Je m'étais résolue durant ce stage à commencer un régime. Croquer une seule pomme était du reste déraisonnable. Il n'était pas assuré que mes kilos de trop se fussent évanouis dans l'heure. Mon amant protestait que je voulus perdre des rondeurs dont il était si fou. Moi je ne supportais pas l'injure du temps. Il me pesait qu'à quarante-cinq ans je me résignas déjà à ce laissez-aller. Machinalement après la pomme vins-je à me contempler dans un petit miroir. J'avais indécemment forcé mon maquillage.
    
    Il me revint le ridicule de ma matinée où j'avais consenti à certains choix tactiques. Outre le maquillage outré, j’avais adopté une jupe trop courte et des bas chair au lieu de noir. Au sortir de chez moi j'avais reçu l'assentiment et les blagues grasses des éboueurs. Notamment ils avaient goûté que je leur montrasse un peu de mes cuisses à la lisière du bas tandis que je m'asseyais dans la voiture. De même un voisin libidineux du stage n'avait eu de cesse de diriger son œil sur cet endroit au cours de la matinée. Je ne dédaignais pas d'exciter de la sorte les mâles. De savoir qu'ils bandaient pour moi me troublait irrémédiablement.
    
    Pour tout ...
    ... mâle j'avais en vis et à vis et de l'autre côté du bassin, un petit vieux. Celui-ci affectait de lire son journal mais je percevais assez son regard sur mes cuisses. Par jeu, je croisais à mesure celles-ci plus haut. Je pus sans peine remarquer chacun de ses regards selon le jeu de jambes. Cela me ravissait et me consoler de l'absence du jeune homme. Du moins-je aurais-je réjouit, contenté un vieux vicelard. J'imaginais sa queue petite et toute fripée exaucée jusqu'à une improbable érection. Soudain je sursautais. Je reconnus la voix derrière moi de mon Adonis ne l'ayant pas vu venir. Il avait son franc sourire et ces mêmes yeux bleus.
    
    Il m'expliqua qu'il m'observait depuis cinq bonnes minutes tout empli de scrupule d'être arrivé un peu en retard et de me déranger en ma lecture. Puis il n'était pas sûre que mon invitation ne fut irréfléchie. Bref il ne voulait s'imposer. Je percevais dans ses propos une once d'impertinence. Ce coquin avait du repérer que je mettais plus de soin à montrer mes cuisses au premier quidam plutôt que de lire mon noble Nabokov. Aussi adoptais-je un peu sévère et outré. Je dis : « Voulez-vous que nous poursuivons notre conversation d'hier. » Ce qui signifiait que si c'était pour tout autre chose, le gredin pouvait passer son chemin.
    
    Je fus particulièrement revêche. Ce beau gosse ne se départit jamais d'une bonne humeur stoïque. Il marquait des points contre moi. Le tact et la générosité étaient de son côté. Je m’empêtrais au contraire dans une ...
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