1. Le Monarque : Danaus plexippus


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, cadeau, cocus, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, fsodo, hsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... voir ainsi. Baiser, oui ; mais cette tendresse, non ! Et si… et si cette attitude était l’expression de la pensée de ma femme ? Si l’alcool et cette soirée très agréable lui avaient fait prendre conscience qu’elle avait pris une décision qu’au fond d’elle-même elle ne voulait pas ?
    
    Je m’approche du couple. Rémy comprend et me cède sa place. Martine se love dans mes bras, passant de l’amant au mari.
    
    — Je te sens bien triste, ma chérie. Un peu de nostalgie ?
    — Oui, un peu. Je ne sais pas pourquoi.
    — Moi, je pense savoir.
    — Ah…
    — Tu regrettes ta décision de quitter Rémy.
    — Je ne crois pas. C’est plus sage.
    — Sage ? Mais au diable la sagesse ! Tu dis que c’est pour moi que tu veux arrêter. Que tu penses que je suis seul. Que nous devenons trop pervers. Mais quelle importance ? Nous ne faisons de mal à personne. Ce qui compte, c’est notre bonheur. Au diable la bienséance et les bien-pensants ! Tu veux que je t’apporte la preuve que ta rupture me punit aussi ?
    — Mais, Marc…
    — Si je te prouve que c’est le cas, reviendras-tu sur ta décision ?
    — Euh… oui.
    — Alors écoute. La fois où vous avez baisé dans le jardin, j’étais en face et je vous regardais.
    — Mais…
    — Chut. Écoute et tais-toi. Dès qu’il est arrivé, tu t’es jetée sur lui comme une femelle en chaleur. Tu étais belle, prêtresse devant sa tige que tu adorais. Tu l’as sucée, léchée, même ses couilles ont été adorées. Et puis tu l’as chevauché. Tu me faisais penser à une furie, et lorsque vous avez joui, ma propre ...
    ... queue tendait mon short à me faire mal. Tu sens comme rien que d’en parler, cela m’excite ? Tu sens mon sexe qui est dur ?
    
    Elle ne répond pas, mais son bassin le lui confirme, et son geste de sa tête est un oui éthéré.
    
    — Mais ce n’est pas tout. J’ai vu comme il t’a prise en levrette, et surtout lorsqu’il t’a glissé son braquemard dans le cul. Je savais que c’était la première fois que ton petit trou voyait passer une autre bite que la mienne. C’était extraordinaire. J’avais sorti mon sexe et je me branlais. Si c’est de la perversité, alors je veux qu’elle continue. J’ai craché mon foutre juste au moment où ton amant sortait sa queue et que de ton cul suintait sa propre liqueur. Cette vision m’a taraudé pendant plusieurs jours, et tu comprends pourquoi j’ai voulu te posséder hier, encore chaude de son corps et humide de sa semence. Dis, tu sens comme je bande de raconter cela ? Tu sens ?
    — Oui.
    — Alors, pourquoi arrêter ?
    — Je comprends. Mais que dois-je faire ?
    — Ma chérie, je voudrais vous regarder. Ne pas avoir à jouer les voyeurs, bien que ce soit excitant.
    — Oh !
    — Regarde Rémy. Va l’inviter à danser. Montre-lui combien tu l’apprécies comme amant. Moi, je vais me faire tout petit pour ne pas vous perturber.
    — Tu crois qu’il voudra bien de moi ?
    — Martine, c’est évident.
    
    Elle va aller le rejoindre, mais au moment de la libérer :
    
    — S’il te plaît, chérie, est-ce que je peux ? J’en rêve depuis si longtemps…
    
    Et tout en lui parlant, je la fais se tourner ...
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