Le Monarque : Danaus plexippus
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
cadeau,
cocus,
vacances,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... vers Rémy qui nous regarde.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je t’offre à ton amant. Je lui montre, mais il le sait déjà, que je suis un cocu content.
Je tire lentement dans le dos de la robe sur la fermeture Éclair qui va jusqu’aux reins. Tout en le faisant, dégustant chaque centimètre de peau qui se révèle à mon regard, j’imagine déjà que nous achetions une robe avec le zip devant, sur toute la hauteur, permettant ainsi à la femme infidèle de se dénuder devant son amant. Pour l’instant, l’amant ne voit pas plus ; mais lorsque je fais glisser les bretelles sur les épaules et que la robe tombe à terre, il en est le spectateur.
Marine ne porte pas de soutien-gorge ; juste un string dont j’entrevois, de dos, les fines lanières.
— Voilà, tu peux aller le voir. Fais-toi chatte. Fais-toi coquine. Fais-toi cochonne. Je suis avec toi.
Et je l’embrasse dans le cou.
Dans un premier temps, elle semble figée. Elle me regarde aller baisser l’éclairage et m’installer dans un fauteuil. Rémy aussi. Un instant, je suis leur centre d’intérêt. Rémy, même s’il n’a pas entendu nos propos, doit comprendre la situation. Lorsqu’il retourne son regard vers ma femme, il sent la puissance de la situation. Il hésite. Doit-il venir la rejoindre ? Doit-il attendre ? Et puis Martine avance.
Elle avance des quelques mètres qui la rapprochent de son amant. Il est assis sur notre canapé. Elle le fait lever. C’est elle qui lui enlève le polo. C’est elle qui embrasse sa poitrine, caresse ses ...
... muscles, flatte son ventre et ses reins jusqu’à ce que les mains tirent la ceinture, dégrafent un à un les boutons de la braguette, tirent le pantalon le long des jambes. Le slip est déformé. Quel plus bel hommage et signe d’encouragement ?
Son Apollon est debout. Je ne sais si sa flèche a été taillée par Héphaïstos, mais lorsque ma femme la libère de sa geôle, c’est une beauté. Martine s’agenouille pour retirer le slip sans risquer de blesser la merveille. Elle se dresse, fière et insoumise.
Je la trouve belle. Je l’ai déjà vue – vous le savez maintenant – au repos et dressée, mais jamais de si près en érection. Toute en harmonie. Un gland rose à souhait, libre de toute peau protectrice. La liaison gland-hampe est une vallée. La hampe, tige élancée, est lisse, sauf les veines nourricières qui l’habillent. Et les bourses ! Deux belles couilles, peau tendue d’où la queue semble jaillir.
Je comprends la gourmandise de ma femme. C’est une sucette qu’Annie aimerait pouvoir déguster… C’est Martine qui s’en empare alors que d’une main elle invite son amant à retrouver le confort du canapé. Qui se plaindrait de la dureté d’un carrelage qui blesse les genoux alors que la bouche s’active ? Tous les sens sont concentrés sur ce qui fait la douceur d’une gorge féminine. Les lèvres, à peine maquillées, mais brillantes. La langue, serpent qui ondule et louvoie. La salive, chaude et abondante.
Martine le gobe et me regarde. Elle s’active, descendant déjà pour envelopper le membre ...