1. L'Offrande


    Datte: 13/01/2018, Catégories: fhh, bizarre, forêt, double, attache, fantastiqu, Auteur: Christian, Source: Revebebe

    ... celles de son amant obscur tenaient toujours ses hanches. La peur la saisit aussitôt.
    
    Soudain, la main sur sa nuque se fit griffue. Une autre se posa sur son épaule sans plus de ménagement. Elle voulut se redresser pour voir son assaillant mais les deux mains étrangères l’en empêchèrent. L’une appuya fermement sur sa nuque. L’autre attrapa le col de sa robe et tira dessus. Le tissu céda aussitôt. Les deux lambeaux s’écartèrent et tombèrent sur ses flancs. Anna cria d’effroi.
    
    Alors les quatre mains se tendirent. Les doigts la blessaient de leurs ongles tandis qu’une masse tendue se posait dans le sillon de ses fesses.« Non ! ». Le cri resta vain. Son nouvel assaillant força aussitôt son entrée. La brûlure des chairs qui se distendent lui arrachèrent des larmes. Elle resta figée ainsi, le corps planté sur ces deux boutoirs. Ses mains tremblaient. Elle respira profondément. Cherchant à calmer la peur qui l’étreignait. Car, Anna le savait, la peur était son ennemie.
    
    Alors, imperceptiblement, la jeune femme releva son buste, prenant appui sur le torse puissant sous elle. Elle le caressa avec lenteur et s’efforça de sourire dans la nuit.
    
    — Je suis votre jouet. Donnez-moi du plaisir. Ma bouche vous attend, susurra-t-elle.
    
    Aussitôt, son amant obscur posa ses mains sur ses seins et en titilla les pointes avec délicatesse. L’autre se retira en douceur, libérant le creux de ses fesses. Il sembla un instant avoir disparu. Mais elle le sentit se déplacer sur son côté. Il ...
    ... vint bientôt se planter face à elle. Anna attrapa le boutoir qu’elle devinait et le guida jusqu’à ses lèvres. La présence debout se laissa enfourner et posa ses mains derrière la tête de la jeune femme pour mieux accompagner le mouvement.
    
    Des ondes de plaisir montaient en vagues de frisson sur la peau d’Anna au rythme des deux va-et-vient. Par instants, les deux pieux butaient au fond de leurs cavités respectives puis se retiraient en douceur avant de revenir plus raisonnablement.
    
    Le premier qui s’épancha fut son amant obscur. En longs jets chauds débordant de son antre, s’écoulant sous elle. L’autre semblait vouloir faire durer son plaisir. Il tarda et Anna dut patienter avant de sentir la masse de chair gonfler sur sa langue. La semence gicla au fond de sa gorge puis emplit sa bouche. Elle avala ce qu’elle put. Le reste coula sur son menton et souilla sa poitrine. Épuisée, Anna tomba sur le côté.
    
    La fraîcheur du matin la sortit de son profond sommeil. Elle était toujours au beau milieu de la clairière. La robe blanche déchirée étalée sur elle. Elle se releva et se frotta les yeux.
    
    Ce fut à l’instant de partir, nue, sa robe à la main, qu’elle aperçut une touche de couleur posé sur une de pierre. Elle s’approcha. Un myosotis. Anna le prit du bout des doigts et le porta à son visage.
    
    — Je ne vous oublierai pas lança-t-elle en regardant la forêt.
    
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    — Vous attacher ? m’indignai-je.
    
    Je n’en croyais pas mes oreilles. Anna me suppliait du regard. ...