1. Une heure et "car" de bonheur !


    Datte: 02/11/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, Masturbation Oral fsodo, initfh, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... composait un numéro sur le combiné, je ne pus m’empêcher de lui dire :
    
    — Vous savez que vous êtes une très belle femme ? Vous êtes mariée ?
    
    Elle fit mine de ne pas entendre et se retournant vers moi, tout en me faisant signe de me taire, elle entama la conversation avec son interlocuteur en me regardant droit dans les yeux.
    
    — Allô ? Robert ? C’est Clotilde. Qu’est-ce que vous faites ? Ça fait au moins une heure que je sèche. Vous m’avez oubliée ?
    
    Elle écouta ce qu’avait à lui dire son correspondant et termina la conversation.
    
    — Bon ! Ben, j’attends, le principal c’est que les mômes rentrent chez eux au plus vite. Allez ! À plus tard !
    
    Elle reposa le combiné sur la planche de bord et, avec un grand sourire, elle me dit :
    
    — Bon ! Ils ne seront pas là avant une bonne heure. Il y a un autre car en panne alors ils sont débordés pour assurer le service. On va pouvoir discuter tranquillement.
    
    Elle s’assit sur la planche de bord, juste devant le pare-brise dans lequel le soleil déjà bas m’éblouissait.
    
    Dans ma tête tout se bousculait. Je me disais que j’avais une heure pour tenter de séduire cette femme magnifique. Juste pour le plaisir.
    
    — Vous êtes éblouissante !
    — C’est le soleil que vous avez dans les yeux qui vous éblouit, rassurez-vous !
    
    Pour faire bonne figure et pour masquer quelque peu mon impatience de la tenir dans les bras, je fis mine de m’intéresser plus avant à son problème technique.
    
    — Qu’est-ce qu’il a votre moteur ?
    — Je ne sais ...
    ... pas, il s’est mis à fumer d’un seul coup et le voyant rouge là s’est mis à clignoter.
    — Quel voyant ?
    
    Elle se retourna vers le tableau de bord et du doigt elle me montra le fameux voyant.
    
    Comme pour mieux voir ce qu’elle me montrait, je me rapprochai d’elle et me reposant presque sur son dos, je fis mine de perdre l’équilibre.
    
    Me raccrochant à son ventre, je ne pus éviter de lui caresser l’un de ses seins.
    
    — Pardonnez-moi ! J’aurais voulu le faire volontairement je ne m’y serais pas pris autrement !
    — Ne vous excusez pas ! C’était pas désagréable. Le principal est que vous ne soyez pas tombé.
    
    Je prenais sa remarque comme un encouragement.
    
    — Vous voulez que j’aille jeter un œil ?
    — Pourquoi pas ? Vous vous y connaissez en mécanique ?
    — Oui, un peu.
    
    Nous descendîmes du car et une fois le capot arrière relevé, je me penchais sur le monstrueux moteur qui continuait inexorablement à fumer.
    
    Le logement dans lequel le moteur était installé était tellement grand qu’il me fallut prendre appui sur le bâti pour me pencher plus encore et inspecter ce que je supposais être à l’origine de la panne.
    
    J’avais beau parler pour expliquer ce que je pensais du problème, Clotilde ne disait rien.
    
    C’est en me relevant et en me retournant vers l’infortunée conductrice que je compris pourquoi elle restait muette. Un grand sourire lui barrait le visage et ses yeux mutins ne laissaient aucun doute sur le petit plaisir qu’elle s’était offert à mes dépens.
    
    — Je crois ...
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