1. Une heure et "car" de bonheur !


    Datte: 02/11/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, Masturbation Oral fsodo, initfh, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... effrayée de me voir adossé en train de l’observer.
    
    En remettant en place ses vêtements, elle ouvrit des yeux gros comme des boules de billard.
    
    — Qui êtes-vous ? Que faites-vous là ? Dans cet accoutrement ridicule en plus.
    
    Ah ! Je crois que j’ai omis de me présenter. Si je ne le fais pas, vous ne pourrez pas comprendre cette dernière remarque.
    
    Je suis un homme de 45 ans, 1,69 m, châtain très clair avec des yeux vert-bleu. Un mec tout ce qu’il y a de classique et standard, mais sur lequel bon nombre de mes congénères se retournent dans la rue, plus souvent les femmes d’ailleurs. Eh oui ! Je suis écossais et ayant toujours défendu mes racines, je porte le kilt presque au quotidien.
    
    Au début, au bureau ça n’a pas été facile de me faire ainsi accepter. Mes supérieurs n’appréciaient qu’à moitié cette particularité vestimentaire, quant à mes collègues féminines, je n’ai pas besoin de vous dire qu’elles m’ont toutes posé la seule et unique question qui hante leurs fantasmes ! En tout état de cause, elles n’ont toujours pas la réponse.
    
    Depuis maintenant cinq ans que j’officie dans les bureaux et ayant pris du galon, il est entré dans les mœurs que je puisse venir travailler en pareille tenue. C’est même presque devenu une sorte d’image à laquelle tient l’entreprise. Comme quoi avec le temps…
    
    Manifestement, pour l’occupante du car, un certain temps d’adaptation était nécessaire.
    
    Pour la rassurer, c’est moi qui pris l’initiative.
    
    — Bonjour Madame ! ...
    ... Pardonnez-moi de vous avoir réveillée, mais je passais par là et ayant vu de la fumée sortir du logement moteur, j’ai pensé que vous auriez peut-être besoin d’un coup de main !
    — C’est gentil, mais vous m’avez filé une de ces frousses ! En plus, avec votre jupe, là !
    — Un kilt ! Pas une jupe.
    
    Une fois présentable, la femme me passa devant pour se rendre à l’avant du car.
    
    Compte tenu de l’étroitesse de l’allée centrale, elle ne put faire autrement que de me frôler.
    
    Elle sentait bon le frais. Vous savez, cette odeur très particulière que l’on ne peut apprécier qu’au printemps. Cette senteur délicate qui vous chatouille les narines en vous rappelant que l’été est proche et que les femmes sont belles.
    
    Tout en se déplaçant avec grâce vers l’avant de la cabine, elle vitupérait :
    
    — Bon sang ! Qu’est-ce qu’ils font ? Ça fait plus d’une heure que je les aie appelés. J’ai des mômes à prendre à l’école moi !
    — Vous avez des enfants ?
    
    Elle se retourna vers moi et assez étonnée elle me demanda :
    
    — Oui, trois ! Pourquoi cette question ?
    — Vous parlez de mômes à prendre à l’école !
    — Oui ! Mais non ! Je parle des gamins que je dois transporter. Pas des miens !
    
    Arrivée à la hauteur de son poste de conduite, elle se pencha très en avant pour saisir son téléphone portable.
    
    Lui ayant emboîté le pas et placé comme je l’étais, je ne pus qu’observer qu’elle avait de très belles jambes et que sa culotte était bien de la même couleur que son porte-jarretelles.
    
    Pendant qu’elle ...
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