1. Une heure et "car" de bonheur !


    Datte: 02/11/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, Masturbation Oral fsodo, initfh, Auteur: Propilot, Source: Revebebe

    ... que j’ai percé le secret ! dit-elle fièrement.
    — Je vous demande pardon ?
    
    Elle baissa la tête et tout en pouffant elle insista, un peu gênée par son audace.
    
    — Vous n’avez rien dessous ! J’ai tout vu !
    — Ça, c’est ce que toutes les femmes pensent en pareille situation. Mais c’est un leurre !
    — Je veux bien être leurrée ainsi tous les jours moi !
    
    Je ne lui en voulais pas de s’être ainsi rincée l’œil, sachant que pour ma part, je ne m’étais pas privé quelques minutes auparavant. Échange de bon procédé.
    
    — Vous pourrez ainsi raconter à votre mari ce qu’il en est du port du kilt !
    — Qui vous dit que je suis mariée ?
    — Une femme aussi belle que vous ne peut qu’être mariée, ou en tout cas avec un homme. Si ce n’était pas le cas, ce serait un terrible gâchis !
    — Eh bien considérez que c’est du gâchis !
    
    Je restais là, comme un imbécile qui avait fait une grosse gaffe.
    
    — Pardonnez-moi, je ne voulais pas être indiscret, ni même désagréable.
    — Ça fait trois ans que je suis divorcée et croyez-moi, je ne le regrette pas même si depuis je n’ai pas eu d’occasion.
    — D’occasion ?
    — De prendre le petit déjeuner avec un homme.
    
    La porte s’entrouvrait lentement devant moi. Certes, je ne faisais pas dans la finesse, mais ce n’était pas là mon propos. Aussi, pour accélérer un peu le mouvement et peut-être mettre fin au picotement qui me démangeait au bas du ventre, je proposais à Clotilde un marché que je savais d’ores et déjà gagné.
    
    — Que proposez-vous si je vous ...
    ... démontre que vous faites erreur ?
    — Démontrez-le-moi d’abord ! J’aviserai le cas échéant !
    — Serez-vous assez hardie pour vous en rendre compte par vous-même ?
    — L’avenir vous le dira mieux que moi !
    
    Je remontai à bord du car et avant même que j’ai pu gravir la dernière marche, je sentis une main douce et délicate parcourir ma jambe gauche.
    
    Je m’immobilisai et appréciais la caresse.
    
    Ses mains montaient maintenant doucement jusque sur mes cuisses. Clotilde prenait un malin plaisir à redescendre de quelques centimètres avant de reprendre son ascension chaque fois un peu plus haut.
    
    — En trois ans, vous ne semblez pas avoir perdu la main ! Seriez-vous une experte ?
    — Taisez-vous et laissez-moi faire. Je vais vous prouver que j’avais raison.
    
    Elle continuait à caresser le haut de mes cuisses, jusqu’au moment où elle s’aventura à l’entrejambe.
    
    Là, elle fut un peu déroutée et surprise.
    
    — Qu’est ce que c’est que ça ?
    — Quoi ça ?
    
    En insistant sur mes testicules qu’elle malaxait avec délicatesse, elle essayait de comprendre ce qui pouvait l’empêcher de toucher la peau de mes bourses.
    
    — C’est un string ? C’est ça ?
    — Non ! Ce n’est pas un string !
    — C’est pas non plus un boxer, ou alors j’ai pris un sérieux retard sur la mode moi !
    — Non ! C’est pas non plus un boxer !
    
    Sans attendre plus d’explications, et comme elle était placée en contrebas, elle releva l’arrière de mon kilt et tout en admirant mes fesses à l’air, elle s’étonna.
    
    — Pourtant, vous ...
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