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Mon cher maître
Datte: 30/10/2018, Catégories: fh, bizarre, hsoumis, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, Humour Auteur: Gradiva, Source: Revebebe
... Médor ! Viens voir maman ! Nous entendons des jappements ! Le cher maître apparaît, nu et marchant à quatre pattes ! — Médor, viens, allez, viens ! Viens, mon beau Médor. Viens voir ta maman. Si tu ne viens pas tout de suite, je vais me fâcher ! Maintenant les yeux d’Anne sont en billes de loto ! Médor se rapproche de sa maman en jappant et en remuant les fesses de droite à gauche. La femme brune lui boucle le collier autour du cou, fixe la laisse. — Le Médor à sa maman est content, oh oui, il est content, le Médor à sa maman ! Elle caresse la calvitie de Médor, il jappe plus fort. Anne me prend la main et la serre. — Mais Médor n’a pas fini son vin ! Tu veux finir ton vin, mon Médor ? Couinements, balancement frénétique des fesses. La femme brune ouvre son manteau, écarte les cuisses, verse du vin sur sa toison. Médor vient lécher avec de grands bruits de langue. — Il est content, le Médor à sa maman, il est content avec son vin vin, il est bon, le vin vin à son Médor ? La fréquence des pressions sur ma main augmente. Je regarde Anne, elle se tient la bouche avec son autre main. — Attention, Médor, tu vas trop loin. Tu vas trop loin… C’est bien, Médor… Tu recommences, Médor. Fais attention ! Ah non ! Médor, tu as été trop loin ! Elle lui donne un coup de cravache. Médor se recule, pleure. — Le Médor à sa maman n’a pas été sage, je vais être obligé de te punir ! Elle prend la cagoule, qui est en fait une muselière, et l’ajuste ...
... sur le museau de Médor. Anne pouffe. Heureusement que Médor jappe toujours ! Je lui mets la main sur la bouche, je sens ses larmes couler. — Médor veut faire sa petite promenade ? Viens faire ta petite promenade, mon Médor. La femme brune se lève, entraîne Médor avec la laisse. Ils disparaissent de notre vue. Je chuchote : — Calme-toi ! Du calme ! Le couple fait plusieurs fois le tour de la cave, Médor renifle et couine, la truffe au ras du sol. Il s’arrête en face de nous, lève la patte ! — Médor, que fais-tu ? Mais tu es en train de pisser ! Tu es un vrai cochon. Cochon, Médor ! Cochon ! Cochon ! À chaque « Cochon », elle lui donne un coup de cravache. Elle s’assied sur un tabouret. Médor se met à aboyer. Il vient vers elle, lui prend la cuisse entre les avant-bras et se frotte sur sa jambe en jappant. La femme brune tente de le repousser, il se met à grogner. — Mais ça ne se fait pas, voyons, Médor ! Arrête. Tu es sale. Arrête, Médor. Médor halète de plus en plus fort. — Sale ! Médor, sale ! Sale. Les muscles du ventre me font mal. Je regarde Anne : elle serre ses mains entre les cuisses. Je passe ma main : elle s’est compissée ! Nous descendons et nous asseyons sur la caisse. Un fou rire silencieux nous tord. J’en pleure, moi aussi. Nous entendons : — Là, Médor, là, c’est bien. Après des bruits divers, nous remontons doucement regarder : le couple est au bar, habillé, un verre à la main. — Vraiment, chère amie, c’était très très ...