1. LE DESIR DE PATRICIA


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... d’un biscuit, et je le portais à ma bouche. Pas le temps de le croquer que le téléphone se remit à sonner. Je décrochais vivement.
    
    - C’est moi. Se présenta ma femme.
    
    - Ah ! Oui tu… t’es en pose ?
    
    - Oui, comme tu vois. Dis-moi tu téléphonais ?
    
    - Non, non, seulement une femme qui s’est trompée de numéro.
    
    - Cela explique ta nervosité à décrocher aussi brusquement.
    
    - Oui… oui, c’est cela même. Bon… bisou à toi, je me remets devant la télé.
    
    - Tu regardes quoi ?
    
    - Mission impossible…
    
    - Bon choix. Bisous à demain…
    
    Alors que je m’installais de nouveau sur le divan, je perçus un bruit de moteur de mobylette dans la rue. Jusque là rien de spécial, puisque j’habitais en ville. Et il était fréquent d‘entendre ce genre de véhicule. Mais ce qu’il le fut moins c’était, que cette mobylette vienne se poser en dessous de ma fenêtre. Là le doute n’était plus permis, on venait bien chez moi. D’ailleurs peu de temps après, comme pour me donner raison, j’entendais des talons tapés sur le carrelage du palier, pour s’arrêter devant ma porte d’entrée. Puis plus rien, un silence minéral s’installa jusqu’à ce qu’on toque à la porte. J’entrouvris cette dernière pour me trouver en face de Patricia. Emmitouflée dans un manteau. Sans qu’un seul mot de sa bouche, elle poussa la porte et se dirigea vers le salon. Je refermais la porte et allais la rejoindre, me demandant si je ne rêvais pas. À mon arrivée Patricia laissa tomber son manteau.
    
    Son look n’avait rien à voir avec ...
    ... sa tenue du week-end. Elle portait des talons aiguilles d’une hauteur vertigineuse et une jupe ultra courte en laine qui laissait deviner le haut de ses bas. J’ai apprécié la beauté de ses jambes ciselées. Elle a déboutonné son chemisier laissant libre ses seins orphelin de tout soutien-gorge, dont la rondeur s‘approchée de la perfection.
    
    - Je peux savoir ce que me vaut ta visite ?
    
    - Pour dire simple. J’ai le feu au cul et j’ai besoin de ta lance pour l’éteindre.
    
    Je m’attendais à tout mais pas à ça. J’étais sur le cul. Elle reprit la balle au bond.
    
    - Alors tu es de la partie, fit-elle, en s‘approchant assez près pour que nos lèvres se rencontrent. Nos corps se sont ajustés l’un contre l’autre. La garce ne perdit pas de temps, elle m’a massé déjà le paquet. Pour ne pas passer pour un ringard, je me mis à lui caresser ses hanches, qu’elle avait très rondes. J’ai descendu les paumes jusqu’aux fesses fermes à souhait. Je ne savais plus où mettre les mains, tant tout ce qui ce trouvait sous mes yeux m’intéressés. Comme tout ce qui était encore caché, d’ailleurs. Que je m’empressais de découvrir en me saisissant des ourlets de la jupette, que j‘ai tiré vers le haut. Pas le temps d’apprécié ce qui si trouvait en dessous que déjà elle fila d’entre mes doigts. Allant jusqu’à la table basse, où elle y posa sa jambe gauche, avant de m’ordonner de la caresser. Une invite comme cela, chez moi ça ne ce refuse pas et c’est pour cela que je me suis m’agenouillé à ses pieds. J’ai ...