1. LE DESIR DE PATRICIA


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... de quitter son confortable fauteuil avant ma branlette. Prenant même la peine de venir me dire bonsoir. Pour ce faire je me suis redressé du divan. Volontairement ou pas, la coquine a appuyé son ventre contre mon sexe dressé. Deux bises plus tard, sans rien paraître, elle avait regagné sa chambre. Comme à l’accoutumée, j’ai été investir la salle de bain.
    
    J’étais en pleine action lorsque la porte s’était ouverte. Je ne fus pas surpris d’y voir apparaître l’imprévisible Patricia. Tout de suite son regard s’arrêta sur mon sexe enveloppé de sa culotte. Il m’en fallait pas plus pour que mon excitation monte de plusieurs degrés supplémentaires. J’éjaculais devant elle, bombardant le carrelage de mon sperme. Comme à son habitude, sans dire un mot Patricia tourna les talons, prenant même la peine de refermer soigneusement la porte derrière elle.
    
    Le lendemain matin, j’avais déjeuné avec ma compagne avant que cette dernière prenne le chemin qui ira la mener jusqu’à son boulot. Mais alors que je faisais un brin de ménage dans la cuisine, je perçus un léger bruit de pas derrière moi. Je tournais la tête pour tomber nez à nez avec Patricia. Après s’être renseigné sur le programme de sa sœur, pour la journée, elle m’indiqua qu’elle allait aux toilettes. Alors qu’elle s’éloignait, j’ai placé mon regard sur ses fesses graciles, bien découpées, très tentantes, moulées dans un pantalon de stretch beige.
    
    Après réflexion, je pris ses paroles pour une invitation. Ni une ni deux je fus ...
    ... submergé par une furieuse envie d’aller la surprendre, comme elle s’était permis de le faire la veille au soir. Alors que je m’approchais du lieu, j’avais le cœur qui battait la chamade. Quelques gouttes de sueur perlaient sur mon front, quand ma main pesa sur la poignet de la porte. Je l’entrouvris, et surpris Patricia assise sur le bidet, le pantalon tombé à ses chevilles, les jambes écartées. Je ne pus empêcher mon regard de glisser sur l’énorme touffe de poil clair d’où émergeait une fente luisante d’une mouille épaisse. La cochonne était sans doute en train de s’astiquer le minou juste avant qu‘elle m‘entende ouvrir la porte. Soudain d’entre ses lèvres un filet de pisse en jaillit. Manque d’initiative, ou de testostérones, j’ai refermé la porte. Ma carence, je l’ai regretté toute la journée et même au-delà.
    
    Un soir de semaine, alors que je me trouvais seul à la maison, une fois n’est pas coutume, assis confortablement en face de la télévision dégustant des petits princes au chocolat, le téléphone se mit à sonner. Sans doute ma compagne prenant de mes nouvelles. Elle le faisait parfois quand le travail le lui permis. Je pris le combiné et le portais à mon oreille.
    
    - Tu es seul ?
    
    Il m’en fallait pas plus pour reconnaître la voix de Patricia.
    
    - Oui… pourquoi… répliquais-je.
    
    Et ça coupa, net. Je reposais le combiné sur le socle et revins m’installé sur le divan. Des tas de questions me vint dans la tête, au sujet de ce coup de téléphone bizarre. Je me saisis ...
«1234...»