1. LE DESIR DE PATRICIA


    Datte: 30/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    En ce samedi, nous avions l’heureuse visite de Patricia. Dans les 1m70, les cheveux longs, elle était vêtue d’une jupe correcte qui s’arrêtait au-dessus des genoux, de bottines et d’un tee-shirt léger à fines bretelles. Sœur cadette de ma compagne, qui arriva sac en main pour passer le week-end avec nous. Après le dîner, elle nous a abandonné quelques instants, pour se rendre dans la salle de bain. Revenant quelques minutes plus tard en pyjama. Dont la veste déboutonné laissait entrevoir à qui voulait le voir, ses seins volumineux, blancs et bien charnus, aux belles pointes brunes et longues.
    
    Comme c’était souvent le cas en fin de semaine, ma compagne fatiguée par de dure journée de travail, a décidé d’aller se coucher, me laissant en tête à tête avec sa jeune sœur confortablement installée sur le fauteuil devant la télé, moi sur le divan, situé sur sa droite, tout proche.
    
    Alors qu’elle était concentrée sur ce qui se dérouler devant ses yeux sur l’écran, j’en profitais pour scruter sous le tissu, un sein ferme que sa respiration faisait vibrer par instants. Il m’en fallait pas plus pour qu’intuitivement un appétit de chair me submerge. Spontanément, sans aucune gêne, dans la pénombre, j’ai déboutonné fébrilement mon pantalon. Le slip descendu, ma verge a bondit, tel un clown hors de sa boite. Je l’ai pris fermement et je lui ai imprimé des mouvements de va-et-vient. De mon autre main, j’ai massé mes testicules. J’étais comme fou d’apercevoir nettement une partie de son ...
    ... sein lourd, aves son large aréole sombre.
    
    Je n’avais qu’une chose en tête à ces minutes. Envie de me faire jouir. Mon désir a atteint son paroxysme. Mon membre viril était tendu comme un arc. Quelques mouvements encore, l’index sur le frein, et j’ai explosé. Un jet saccadé, qui dispersa la semence chaude sur mon ventre et surpris quelques poils qui n’étaient pas dans la fête. Je n’ai même pas pris la peine d’étouffer mes soupirs. Un besoin de partager mon plaisir avec Patricia. D’ailleurs pas un instant elle a parut s’intéresser à moi.
    
    Après avoir repris mes esprits et je me mis à la recherche d’un mouchoir. Alors que je m’essuyais, la coquine a déserté sa place pour aller se coucher. Séance tenante, je me suis rendu dans la salle de bain. Là parmi les fringues, j’ai repéré tout de suite sa petite culotte blanche exiguë, avec un petit motif de fleurs sur le bord. Le coton était tout poisseux et présentait une tache jaunâtre là même, où avait séjourné son sexe. Je n’ai pas pu m’empêché de l’humer, sous toutes ses coutures. M’enivrant de son odeur. Enfin j’ai emmailloté mon pénis avec le dessous et je me suis masturbé jusqu‘à y répandre ma jouissance dedans.
    
    C’était comme un besoin chez moi de signer mon passage. Avec la conviction que Patricia était au courant de mes délits. Mais heureusement pour moi, elle n’avait jamais rien colporté.
    
    Quelques semaines plus tard, avec Patricia, nous nous sommes retrouvés de nouveau en tête à tête. Mais ce soir là, elle a décidé ...
«1234...»