1. Corps fous


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, inconnu, plage, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... m’aura fait des choses !
    
    Je m’avance, je le vois, là-bas, parmi d’autres personnes. Je me demande combien de temps il lui faudra pour sauter sur une autre touriste. Peut-être même qu’il a déjà fait son choix parmi celles qui arrivent. Un dernier signe et c’en est fini de la Grèce : retour à la réalité.
    
    L’avion vient de décoller. Laurine me questionne depuis quelques minutes. Elle pose alors la question qui tue :
    
    — Et pour la suite, tu fais quoi ?
    — La suite de quoi ?
    — Ben oui : c’est fini, tu ne le revois plus ou…
    — Il m’a dit qu’il viendra me voir dans trois semaines à Reims.
    — Mais c’est merveilleux !
    — Je n’y crois pas.
    — Oh, vous pouvez toujours vous téléphoner ou vous envoyer des e-mails. Ou faire ça à l’ancienne avec des lettres.
    — Non, j’ai refusé de lui donner mon numéro de portable et mon adresse internet. Nous devons réfléchir, nous faisons un break, éloignés l’un de l’autre. Il a promis de respecter ma décision. Je suis persuadé de n’être qu’une passade ; Ewan a été un bel amour de vacances, une belle parenthèse dans ma vie. Non, il ne viendra pas, il ne fera pas deux mille kilomètres pour venir voir une femme comme moi, alors qu’il a les moyens d’avoir des tas de filles à ses pieds.
    — T’en fais pas un peu trop ?
    — Je suis réaliste : il ne viendra pas.
    
    --ooOoo--
    
    Mais voilà, contrairement à ce que j’aurais cru, il est venu. Il est là, devant moi, avec un bouquet de fleurs dans les mains. Soyons franche, je l’espérais bien un peu, je le ...
    ... désirais, mais, l’expérience m’a appris qu’entre ce que les hommes disent et ce qu’ils font, il y a souvent une très grande marge…
    
    Je me jette dans ses bras ! Je répète sans fin : « Tu es venu, tu es venu ! » Nous sombrons dans le canapé, je l’embrasse furieusement follement, je griffe son dos à travers sa veste et sa chemise, je n’en peux plus, je le veux !
    
    Avec une rapidité folle, je le déshabille, tandis que j’ôte mes vêtements sans soin à travers la pièce. Je le plaque au fin fond du canapé, pas de préliminaire, pas de câlin, pas de caresse, c’est lui que je veux en moi pour étancher ma soif, ma faim. Sans fioriture, je saisis son sexe déjà dressé, je m’accroupis au-dessus de lui, et sans préambule, je m’empale sur sa tige qui me manquait tant. Je pousse un intense soupir de soulagement quand sa bite s’enfonce au plus profond de moi. Je veux qu’il m’en mette partout, je veux qu’il me prenne, je veux du sexe, de la sueur, du bestial ! J’ai trop envie de lui pour chercher à rester civilisée ! Que je sois chienne, pute ou salope, je m’en fiche : je le veux à moi, rien qu’à moi, rien que pour moi !
    
    Enfichée sur son sexe dur, je bouge mon bassin pour mieux le ressentir, pour mieux me visser sur lui ! Il saisit mes seins, mes tétons, il pétrit mes chairs comme j’aime qu’il le fasse, il martyrise mes pointes comme j’adore qu’il me torture. C’est bestial, sans un seul gramme de douceur, mais c’est si bon ! Être vissée en lui, plantée sur lui, deux corps qui se veulent, mes ...
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