1. Corps fous


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, inconnu, plage, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... il m’interroge du regard, je réponds :
    
    — Vous m’avez cherchée ? Vous m’avez trouvée !
    
    Il ne répond pas, comme vaincu.
    
    --ooOoo--
    
    Inutile de dire qu’après une pareille séance, il m’était plutôt difficile de jouer les oies blanches. Tant pis, je suis en vacances, ce type m’excite, et j’ai envie. Alors j’ai plongé.
    
    Après la petite turlupinade, nous sommes restés sur place et il en a profité pour me faire subir la même chose. Disons que ça a été plus rapide car j’étais déjà totalement détrempée. Il a su me faire profiter de sa langue particulièrement habile et de ses doigts agiles. C’est alors que j’ai eu la révélation : le point G, grande arlésienne féminine, on dirait que, finalement, ça existe !
    
    Comme pour se venger, il a mis ses doigts partout, sa langue aussi. J’ai joui comme une petite folle plusieurs fois, je ne saurais dire combien. Je ne me rappelle plus que de l’intense plaisir que j’ai pu recevoir, plus des détails ; c’est pour cela que je ne peux rien décrire, à mon plus grand regret. Mais quelque chose me dit que j’aurai, par la suite, d’autres occasions !
    
    Nous sommes ensuite aller nous promener sur des côtes déchiquetées, aux paysages grandioses, une mer bleue sans vague, dans une légère brume. Nous avons dîné en tête à tête dans un petit village, j’ai passé une très bonne soirée. D’un commun accord, nous avons décidé de ne pas passer la nuit ensemble, mais que demain, je lui consacrerai toute la journée sans restriction.
    
    — Et… toute la nuit ...
    ... aussi…
    
    Ai-je ajouté avant de refermer la porte de ma chambre.
    
    --ooOoo--
    
    Quelques jours se sont écoulés comme un rêve. C’est un bon amant, de temps à autre un peu brusque, qui décide souvent à ma place, ce qui m’agace parfois. Moi, je me donne complètement, je fais des folies de mon corps, je m’étonne moi-même de l’impudeur que je peux avoir avec lui. Mais je ne vais pas m’en plaindre, surtout à presque cinquante ans.
    
    Aujourd’hui, je suis chez lui. Je me doutais bien qu’il avait un pied-à-terre dans l’île. Il m’avait dit que ce n’était pas très grand, en réalité, la maisonnette d’un grand oncle du côté de sa mère. Une masure qu’il avait commencé à retaper alors qu’il avait à peine vingt ans.
    
    — Tu appelles ça une masure ?
    — Comment veux-tu que je l’appelle, ma Daphnée ?
    — Une demeure, oui !
    
    Masure, il est bien, lui ! Un magnifique mas en forme de U avec au moins quatre chambres, un vaste salon, diverses dépendances et une piscine au milieu ! Et au moins un bureau, il me semble. Quant aux salles de bain, je n’ai pas compté ! J’ai même cru voir un court de tennis, là plus loin. Oui, il y a pire, mais je connais difficilement mieux.
    
    — Tu sais, ma chérie, ici, presque tout le monde a une piscine !
    — Et autant de pièces ?
    — C’était la ferme de mon grand oncle, j’ai simplement transformé ci et là… Je ne sais plus comment on dit l’endroit où on met des vaches ou des moutons…
    — Une étable. Tu veux dire que c’étaient des étables, là sur le côté ?
    — Oui ! Ça m’a ...
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