1. Corps fous


    Datte: 29/10/2018, Catégories: fh, inconnu, plage, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... palpitations, ses battements, ses pulsations intimes et délicates… Je sens et j’apprécie, je savoure cet instant, celui qui est juste avant, tout juste avant…
    
    Un cri, un long raidissement, un tremblement, puis, comme au ralenti, une gerbe blanche qui s’écrase au sol, dans les herbes vertes, face à la mer.
    
    D’autres tremblements moins puissants, d’autres éruptions moins vigoureuses, son souffle court, son corps qui vibre légèrement, sa tige qui s’affaisse petit à petit, molle, épuisée, vidée…
    
    Je descends du scooter, je suis à la fois contente de moi et terriblement excitée. La forêt derrière nous, la mer devant, l’herbe étonnamment verte à nos pieds, le soleil ardent par-dessus, tout ça est si irréel, singulier. Lui aussi est descendu du scooter qui gît à présent dans l’herbe, il s’adosse à un arbre, comme anéanti, son sexe désempli. Sans aucune hésitation, je vais vers lui, je m’agenouille, je lève la tête vers ses yeux étonnés, un dernière regard, ma langue sur mes lèvres, telle une gourmande insatiable, et je le prends dans ma bouche.
    
    Je le suce tout d’abord délicatement puis de plus en plus vivement. Je goûte son sperme légèrement acide, j’aime, j’en revoudrais bien encore plus tard. Je déguste la saveur de sa tige, de son gland. Je veux le faire gonfler à nouveau, je veux sentir sa grosseur sur ma langue ! Ses doigts caressent mes cheveux, mes joues, je continue mon exploration, je l’aspire, je le pompe, je le suce, encore et toujours.
    
    Je le retire de ma ...
    ... bouche, puis je le lèche du bout de la langue, épousant toutes les sinuosités de son gland, de son frein, des veines qui palpitent sur sa tige. Il frémit, j’en suis heureuse. Je descends alors plus bas, vers la peau fragile des testicules. Je me fraye un chemin parmi ses poils, je teste, je vérifie, puis, avidement, je gobe la noix dure que j’ai trouvée sous la fine peau. Il se cabre. Vicieusement, je fais aller cette noix de part et d’autre de ma bouche, la lapant, la cajolant au passage.
    
    Je décide de sortir le grand jeu. Peu importe ce qu’il pensera de moi, je m’en fiche. Voracement, je capture l’autre noix, sans me soucier des poils qui encombrent mes dents. Je joue avec, les faisant aller l’une sur l’autre, l’une sous l’autre, dans ma bouche humide. De ma main, je recommence à flatter sa tige qui s’affermit peu à peu. Je joue avec le gland, mes ongles titillant son méat et son frein. Mes autres doigts caressent son périnée, glissant dans ce fin sillon. Il gémit. À nouveau, je le branle fermement, de plus en plus vite, imprimant diverses torsions, rotations, cambrures à sa tige. Je libère ses testicules à présent détrempées, puis je suce mon doigt, tandis que je branle toujours.
    
    Sans préambule, j’enfonce mon doigt mouillé dans son anus.
    
    Il se raidit, son sexe enfle d’un coup.
    
    Il éjacule, je le bois goulûment.
    
    Après un dernier spasme, une dernière gorgée. Son sexe mollissant à présent hors de mes lèvres, je lève les yeux vers lui, la bouche maculée de sperme ; ...
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