1. Amour malgache


    Datte: 27/10/2018, Catégories: fh, médical, fépilée, vacances, plage, sauna, collection, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Christie5, Source: Revebebe

    ... fini par le tromper.
    
    Ce fut, d’abord, au hasard de rencontres, dans le club naturiste évoqué plus haut : j’y allais une fois par semaine. Je me déshabillai dans le vestiaire mixte, à l’entrée, je passai, ensuite au sauna et au hammam.
    
    Il suffisait d’attendre un peu ; un petit peu devrais-je dire ; car il y avait toujours un chevalier servant pour me proposer un massage et il ne fallait pas perdre de temps, car j’étais rapidement sollicitée ; après tout, il y avait peu de femmes accortes en ces lieux.
    
    Ça se passait derrière un paravent, au premier étage, dans une discrétion toute relative. Moments délicieux : j’aimais les mains qui glissaient le long de mes cuisses et pénétraient mes orifices. Je savais, par un petit mouvement de mes fesses ou de mes cuisses, montrer le chemin de ma rondelle et de mon sexe ; mon partenaire me conduisait toujours à la jouissance. Je ne criais pas, mais les fesses qui se contractaient au rythme des mains m’auraient trahie, si toutefois, j’avais l’intention de cacher mon plaisir. Et ce n’était pas le cas. Le massage se terminait inéluctablement dans un petit réduit bien à l’abri, où mon amant d’un jour avait beaucoup de mal, lui, à étouffer ses cris (dans ce club, il était licite d’accepter les massages, mais il était, par contre, mal vu de copuler : mieux valait, donc, être le plus discret possible).
    
    J’avoue, ces coïts, c’était plutôt pour honorer mon partenaire masseur, pour le remercier de m’avoir fait jouir bien avant qu’il ne ...
    ... me pénètre. C’était une distraction amorale, à beaucoup de points de vue, mais qui avait permis à mon couple de « survivre », au moins, dans la forme.
    
    … J’ai connu des massages à quatre mains, à huit mains, même, au grand dam d’une affreuse mégère qui décida d’alerter la direction et qui finit par faire fuir mes acolytes !
    
    Un des meilleurs souvenirs de ma vie amoureuse ! Les quatre masseurs tournoyaient autour de la table et celui, qui faisait étape devant moi, se voyait gratifier de coups de langue bien placés. J’adorais voir les glands de plus en plus turgescents et les méats prêts à décharger le foutre. Jusqu’aux cris de la mégère.
    
    Lorsque la directrice fit irruption, j’étais bien seule pour faire face à la colère et aux reproches : mes complices avaient pris la fuite et ce fut ma dernière visite, toute honte bue.
    
    Et puis, surgit la catastrophe.
    
    Faute de mieux, privée de ses escapades parisiennes, j’ai fini par succomber au charme d’un chef de clinique que j’ai aimé passionnément… malheureusement.
    
    Homme marié, lui aussi et qui ne méritait pas de tels égards : un vrai salaud. Marié, je le savais, mais d’autres maîtresses en même temps, et ça je ne le savais pas. J’aurais aimé le savoir pour ne le prendre que pour ce qu’il aurait dû être : un amant de passage, pas un amour infernal.
    
    On se retrouvait à l’internat, les soirs de garde et on prenait de moins en moins de précautions.
    
    Une nuit, une employée, qui avait repéré notre manège, et qui avait un ...