1. Sophie à l'EHPAD (6)


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... chiennasse ?
    
    C’était celle qui faisait un peu macho qui disait ça.
    
    La porte palière était encore ouverte et j’avais peur que quelqu’un arrive.
    
    L’autre était plus féminine. Il s’agissait à coup sûr d’un couple de lesbiennes. Je les trouvais un brin vulgaires.
    
    — Qu’est-ce que tu attends ? Tu fais moins ta mijaurée quand tu te fais baiser par les chiens !
    
    Josiane avait donné le ton et la soirée ne réservait rien de bon pour moi.
    
    J’y allais d’un wouaf de circonstance, mais pas assez fort à ses dires. J’avais l’angoisse qu’un voisin sorte pour voir ce qui se passait.
    
    J’y allais d’un wouaf retentissant. L’une d’elles ferma la porte ; j’étais soulagée.
    
    Suivirent des commentaires sur mes capacités sexuelles.
    
    Je me retrouvais vite à genoux sur la table basse du salon, envahie par des mains qui me tripotaient.
    
    J’étais contente, car la soirée échappait complètement à Josiane.
    
    Arlette, la femme qui faisait un peu mec, avait pris les choses en mains et donnait le ton à suivre.
    
    Après quelques verres, j’étais à poil et les jambes écartées au milieu des cacahuètes et des bouteilles.
    
    L’autre femme, Jocelyne, me donnait la becquée en me faisant avaler gâteaux secs et graines en tous genres. Josiane et Arlette étaient plus attachées à investir ma chatte et à établir des comparaisons qu’à chercher à tester mes capacités de dominée. Ça ne plaisait pas à Josiane qui avait dans la tête de me faire honte. Elle devait être fâchée de ne pas m’accompagner en ...
    ... Afrique.
    
    Un conciliabule entre elles et je me retrouvais debout derrière la porte d’entrée avec de l’argent à la main.
    
    Des pizzas avaient été commandées et je devais les réceptionner seule et à poil.
    
    La sonnette depuis un moment résonnait ; je libérais la porte de l’immeuble grâce au bouton sous l’interphone.
    
    J’attendais l’homme de pied ferme. Je n’avais pas peur, mais je trouvais l’exercice inintéressant. Les filles pouffaient de la cuisine, dans mon dos.
    
    Elles n’étaient probablement pas capables d’en faire autant ! Le livreur que j’avais imaginé jeune à cause de sa voix était en fait un quarantenaire bedonnant.
    
    Je réceptionnais les pizzas et il en profita pour me reluquer et me demanda même s’il devait me considérer comme un pourboire.
    
    Je lui fis signe de la tête et il me ficha sa main entre les cuisses et ma chatte fut tout de suite investie par plusieurs doigts inquisiteurs. Sa bouche ne resta pas inactive, et penché sur mon buste il tétait mon sein tout en mordillant mon téton.
    
    Il faut croire que ça ne plaisait pas aux filles, car Arlette intervint pour le virer de l’appartement.
    
    J’étais frustrée de ne pas avoir joui.
    
    Ça me rappelait quand grand-père me faisait aller chercher le voisin à l’étage en dessous pour jouer aux cartes avec lui, alors que je sortais de ma douche et que j’étais encore toute nue.
    
    Josiane m’accusa de l’avoir provoqué, je me retrouvais au sol et subis les foudres des trois filles.
    
    Des claques pleuvaient sur ma tête ...
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