Sophie à l'EHPAD (6)
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... bien sûr, mais pas seulement ! Mes seins étaient une cible privilégiée ainsi que ma fente ouverte et humide après les attouchements du livreur.
La masturbation violente à quatre doigts d’Arlette (et des autres) me fit perdre mon calme et je jouis bruyamment devant mes trois masturbatrices.
Je restais seule sur le sol alors qu’elles avaient repris leur place autour de l’apéritif.
J’entendais Josiane qui cherchait à me faire honte.
— Vous savez qu’elle fait ses besoins devant tout le monde et qu’elle adore boire ma pisse, la cochonne ?
Je ne fus donc pas surprise de les voir se soulager, toutes les trois, dans un bol vidé de son contenu, et de me le faire boire ensuite.
J’avais acquis une technique qui consistait à avaler rapidement et en bouchant le nez.
C’était tiède, mais à cette heure, moins concentré, donc moins fort que la pisse du matin.
Il n’en fallait pas plus pour déclencher les hostilités et je sentais que ma soirée serait plus hard que je ne le pensais.
Arlette avait des lèvres très longues, épaisses et foncées, presque noires, elle me les fit avaler. C’étaient des vrais steaks, comparés aux miennes, qui étaient quasiment inexistantes et roses. Elles étaient monstrueuses !
Elle me faisait les lécher. C’était un paradis de sensations ! Qui lèche mieux une fille qu’une autre fille ?
Arlette obligea Jocelyne à faire le ciseau avec moi. Je m’imaginais avec Maîtresse Syl. C’était doux et je suis certaine qu’elle aurait adoré la soumettre ...
... à ses désirs.
Mon vagin et mon anus étaient devenus les réceptacles de tout ce qui était présent dans l’appartement. La pizza pepperoni me laissa des brûlures vaginales très fortes et toute la soirée fut pénible. Chaque chose me pénétrant réactivait le piment sur mes lèvres et mon clitoris.
Je dois l’avouer, j’ai joui plusieurs fois avec des orgasmes très forts. Les trois filles s’occupaient bien de moi, mais je regrettais qu’il n’y ait pas de chien pour que je puisse leur prouver ma supériorité sexuelle face à elles.
C’est entièrement nue qu’un moment donné je me retrouvais dans le couloir de l’immeuble, complètement nue avec une carotte dans le cul ! Je dus descendre à la porte d’entrée manipuler l’interrupteur pour ouvrir la porte principale.
Je me masturbais devant une fenêtre en vis-à-vis d’un appartement où un couple me matait. Il inscrivit même un numéro de téléphone sur un grand papier pour que je les appelle.
Les filles m’ordonnaient des positions et les gestes à avoir, cachées derrière la coiffeuse de la chambre.
Josiane me prenait en photo du haut de la fenêtre du quatrième de l’appartement alors que j’étais nue sur le trottoir plusieurs étages plus bas ; je dus danser dans la rue entre les voitures en stationnement.
Les délires allaient bon train et elles n’étaient pas en panne d’imagination.
L’alcool aidant, c’est à quatre heures du matin que Josiane reprit la voiture. Je n’étais pas rassurée, mais fatiguée par les péripéties de la soirée, ...