La belle Hélène
Datte: 24/10/2018,
Catégories:
fh,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... fermeture du soutien-gorge. Ce plaisir-là, je me le réserve.
Elle pose alors une main sur ma hanche, et de l’autre s’empare de mon membre. Son visage se rapproche, ses lèvres s’ouvrent, elle me happe. Cela tourne au merveilleux conte de fées, avec la plus gentille d’entre elles : Lation.(Si, si, lecteur ! Elle existe, je viens de la rencontrer !)
Sa main est douce et ferme, ses lèvres sont une couronne de fleurs et sa langue un pinceau de miel. J’en frissonne. Et plus encore, lorsque sa tête entame un lent va-et-vient sur ma hampe dure. Je pose mes mains sur ses cheveux pour les caresser, avant de descendre vers la nuque et le dos. Une peau de velours et de soie. J’en viens à mon privilège : mes doigts s’attaquent à la fermeture de son soutien-gorge qui s’envole dans la pièce. Mes mains parcourent alors son dos sans le moindre obstacle, jusqu’aux reins et aux hanches. Elles s’aventurent sous les aisselles et s’emparent enfin des seins. Ils sont aussi splendides sous la paume que sous le regard. Chauds, lourds et fermes. Je malaxe les globes consistants et roule entre mes doigts les extrémités durcies. Hélène réagit illico et accélère le mouvement de sa tête sur Anduze.Ouh la la ! Pas si vite, ma belle, hâte-toi lentement !
Elle ne m’entend pas. Sous l’excitation des caresses sur ses mamelons, elle accélère encore. Je sens que je vais perdre mon contrôle et pour éviter l’accident, je me retire précipitamment de sa bouche. Trop tard ! Le chariot de foin se renverse ...
... devant la grange. À peine le temps de saisir mon membre, je me répands sur sa poitrine. Hélène reçoit l’hommage sans faillir et se laisse aller sur le dos en m’attirant dans son mouvement. Mes mains fébriles glissent sur la gelée tiède et l’étalent sur sa poitrine, sa gorge et son ventre, jusqu’au pubis. Ses seins se tendent sous la caresse, elle ronronne de plaisir.Mais maintenant, Hélène, que vais-je faire ? Avec ce coup-là, tu m’as fait retomber le pendule de midi à six heures et demie. Suis pas le phénix, moi ! Comment vais-je renaître dans ton ventre ?
Nous nous couchons côte à côte, tournés l’un vers l’autre. Elle se colle brusquement à moi, m’enlace et me serre de toutes ses forces. Peau contre peau. Nos bouches se retrouvent et se soudent. Les langues s’entremêlent, frénétiques. Ma main s’affaire sur sa poitrine, l’autre sur ses reins et ses fesses. Un doigt en parcourt le sillon, marque l’arrêt et repart de plus belle vers les collines et les vallées. Elle relâche un peu son étreinte pour permettre à sa main libre de descendre vers mon ventre. Elle me saisit et se lance dans une exquise sollicitation manuelle. Ses doigts sont partout, insidieux, mais si efficaces. Les choses semblent prendre une tournure inespérée. Y aurait-il du miracle dans l’air ? Je me sens redevenir dur, chose que je n’avais jamais vécue dans un intervalle aussi court. Ne faut-il pas laisser à Sisyphe le temps de remonter son rocher ? Elle doit avoir un fluide ou un feeling extraordinaire. ...