1. Monsieur Ferdinand est économe


    Datte: 24/10/2018, Catégories: fh, hplusag, magasin, strip, BDSM / Fétichisme Humour Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... sait que penser !
    
    Une fois ces dames parties, mademoiselle Thérèse prend d’autorité la main de monsieur Ferdinand et l’entraîne dans sa chambre. Une fois dans l’antre féminin, elle le pousse sur le lit et s’affale sur lui. Elle cherche sa bouche, et quand elle la trouve elle y plante sa langue fouineuse. Sa main descend aussi jusqu’à son entrejambe et se met en devoir de malaxer les joyaux du monsieur. L’entrain ne semblait pas être au rendez-vous. Elle s’attaque donc au pantalon et dénude le bas du corps de son compagnon. Elle y met beaucoup de bonne volonté et lui astique le goupillon avec la dernière énergie. Rien n’y fait : le dard convoité a toujours sa forme de virgule ou de point d’interrogation, vu la tête de la demoiselle.
    
    Mademoiselle Thérèse est dubitative ; monsieur Ferdinand serait-il impuissant ? Elle a un souvenir nostalgique pour le sceptre de Petit Louis, dur comme du bois, vif comme… Bon, passons, le dard du saute-ruisseau n’est pas le problème.
    
    Mademoiselle Thérèse a une idée et le sourire carnassier. Elle pense à cette affiche qu’elle a vue sur les boulevards. Cette affiche pour les Folies Bergères et ses « petites femmes nues » : elle va improviser un spectacle pour motiver son amant. Elle recule, et en faisant son plus beau sourire commence un effeuillage en règle.
    
    Monsieur Ferdinand ne comprend rien à la tornade qui vient de s’abattre sur lui. Il fixe maintenant les mains de mademoiselle Thérèse qui courent le long de sa robe comme pour en ...
    ... souligner les lignes parfaites. Il la voit commencer à ouvrir un à un tous les boutons de son vêtement. Il angoisse : il est sûr qu’il va poindre unDorsette ; il en a des sueurs froides.
    
    La chemise apparaît mais ne laisse pas encore voir le corset, même quand la robe tombe à terre. L’insolente pose un pied sur son genou, entreprend d’enrouler son bas sur ses chevilles et, une fois ôté, d’un geste lascif le dépose sur son épaule. Elle fait de même avec le second bas. Puis lentement, très lentement, elle enlève sa chemise. Le corset apparaît : c’est unGarbarini !
    
    Mademoiselle Thérèse commence à angoisser. L’effeuillage est déjà bien engagé, mais rien. Même l’improvisation qu’elle a faite pour dénuder ses jambes n’a pas l’air de le motiver. Si monsieur Ferdinand bande guimauve, tout son plan tombe à l’eau ! Mais, mais… Au fur et à mesure qu’elle enlève sa chemise, l’objet de son désir prend une forme enviable, très enviable. Mademoiselle Thérèse se rapproche donc de l’homme qu’elle voudrait père putatif de son enfant et entreprend une danse du ventre que même Joséphine Baker n’aurait pas récusée. Elle voit bien son regard rivé sur son pubis… L’affaire est dans la poche !
    
    Monsieur Ferdinand, à l’apparition du corset, a un grand soulagement ; unGarbarini, le corset des filles sages. Soudain son œil accroche une petite chose tout en bas de cette lingerie. Une chose que seul un expert en corsetterie comme lui peut remarquer. Il y a là, tout en bas, cinq points de ravaudage. ...